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sur la chasteté à française (french chastity)

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L’apparition des dispositifs de chasteté masculins.

Les XVIIIe et XIXe siècles sont les périodes durant lesquelles les ceintures de chasteté pour hommes semblent avoir émergé. Ces ceintures étaient en grande partie utilisées pour des raisons médicales, pour éduquer les jeunes adultes et pour freiner la masturbation, les relations sexuelles avant le mariage, l’infidélité, mais aussi par amour pour Dieu, peu importe la croyance. Ce don de chasteté, enraciné dans le respect de Dieu, incarne un engagement vers une vie plus pure et dévouée.

L’autre est le centre d’un engagement fondé sur la chasteté et la fidélité.

La chasteté conjugale, du regard de l’époux, est une manifestation de fidélité. La fidélité ne se limite pas à éviter la sexualité extraconjugale ; elle englobe également la pureté des regards et des actions. La relation de confiance avec son épouse est intimement liée à la gestion des pulsions sexuelles. Ce dossier sous divers angles.

Cela peut nécessiter la lutte contre la pornographie, l’évitement des relations intimes avec d’autres femmes, et le refus de flirter. Ainsi, la chasteté devient un véritable don de soi, assurant non seulement la protection de l’époux et de son corps, mais aussi celle de la famille, de l’enfant et du foyer face aux dangers extérieurs.

Parcours historique de la chasteté.

Il y a une nette différence entre la chasteté moderne et celle du temps médiéval. Au temps médiéval, les femmes étaient plus souvent suspectées en matière de chasteté. Il existe des histoires, plus ou moins vérifiées, sur les ceintures de chasteté que les maris mettaient à leurs épouses en leur absence. Les cas où la pratique de la chasteté est réciproque sont relativement peu fréquents.

La valeur de la chasteté avant le mariage est généralement respectée comme une norme morale. Des croyances religieuses ou culturelles poussent souvent à cette pratique. Respecter cette norme est fréquemment vu comme un signe de maîtrise de soi. La chasteté avant le mariage est souvent enseignée dans le cadre des programmes éducatifs religieux.

Pour un couple, la chasteté avant le mariage est une promesse sérieuse, qu’il croit en Dieu ou non. Avant le mariage, la pureté corporelle est souvent perçue comme un précieux don pour une femme. Dans l’Islam, ainsi que dans toutes les religions, la virginité de la mariée est une immense fierté pour elle, sa famille et son époux. La chasteté avant le mariage peut présenter des défis particulièrement importants pour un garçon. L’effort pour un garçon de rester abstinent jusqu’à l’union est complexe sans l’assistance de moyens comme une cage de chasteté. Le combat pour maîtriser ses désirs est une véritable manifestation d’amour, préparant le couple à une relation respectueuse. Avant le mariage, la continence est à la fois une préservation corporelle et une préparation spirituelle pour une relation conjugale harmonieuse. Suivre cette voie aide à construire une sexualité forte pour les futurs conjoints.

La chasteté conjugale est engagée au service de l’amour.

Pour s’assurer de la fidélité et de la chasteté de l’homme, les couples imposent souvent des règles de vie et de sexualité. Il n’est pas question que la femme ait plus de liberté pour des aventures extraconjugales, mais elle bénéficie généralement d’une confiance accrue. Dans la réalité, la chasteté conjugale concerne surtout le mari dans 95 % des cas. L’homme est tenu de porter une cage de chasteté, un dispositif qui emprisonne son pénis et interdit toute activité sexuelle. La cage de chasteté est parfaitement efficace sur ce plan. Quand la cage est bien verrouillée autour des organes génitaux, le pénis est maintenu replié et reposant sur les testicules. L’homme doit se détacher de toute pensée et activité sexuelle, se concentrant sur la libération et la jouissance avec son âme sœur. Le sacrifice constitue un don de soi, un acte d’amour accompli devant Dieu.

La pratique de la chasteté conjugale est souvent interprétée comme un reflet d’amour profond entre les époux. Elle est souvent connectée à un engagement partagé et à la préservation de l’intimité conjugale. Elle peut également représenter une profonde vénération des valeurs communes entre les partenaires.

En observant la chasteté conjugale, l’amour et la confiance entre les époux sont amplifiés. Elle permet de maintenir la flamme réciproque, même si c’est seulement l’homme qui s’y consacre. L’Église de Vatican II place la chasteté parmi les vertus essentielles du mariage et du service divin. Cet engagement de chasteté est un don sacré, un acte d’hommage à Dieu et un respect des saints, renforçant l’amour conjugal et le dédiant à la sainteté.

Chez les hommes, la chasteté est une discipline personnelle significative. On voit souvent la chasteté masculine comme une forme sévère d’autodiscipline. La chasteté exige un engagement profond et sincère envers ses propres principes. La chasteté masculine peut développer une autodiscipline qui renforce la volonté et le caractère.

La flamme réciproque est préservée par la chasteté conjugale, même si uniquement le mari la met en œuvre. L’Église catholique place toujours la chasteté parmi les vertus essentielles de la vie. La chasteté est vue comme un don de soi au Christ, à Dieu et aux autres, ce qui est confirmé par les vies de nombreux saints. À l’instar du Christ, les saints ont souvent fait le choix de lier leur chasteté à un don complet de leur vie à Dieu. Saint Joseph, mari de Marie, est souvent cité comme un exemple de chasteté conjugale. Il est raconté que Saint Bernard de Clairvaux, moine cistercien du XIIe siècle, se jeta dans un buisson d’épines pour maîtriser ses désirs. Avant de se consacrer au Christ et à Dieu, Saint François d’Assise vivait dans le luxe et le plaisir. Saint François d’Assise, après avoir perçu un appel profond de Dieu, adopta une vie de pauvreté et de chasteté. Saint Thomas d’Aquin, durant sa jeunesse, fut confronté aux tentations familiales qui voulaient le faire renoncer à la vie monastique. Selon la tradition, Saint Thomas d’Aquin aurait repoussé une femme tentatrice en utilisant un tison ardent. Sainte Maria Goretti, alors âgée de 11 ans, choisit de mourir plutôt que d’accepter le péché.

La compréhension de l’homme indéterminé.

Pour être précis, l’homme est perçu comme ayant une tendance accrue à la volage et à la masturbation en dehors de la relation. Ainsi, il est important qu’il respecte des règles de chasteté plus contraignantes pour mériter la confiance de son partenaire. Par amour, il est capable de donner toute son énergie, son désir et son amour, comme un acte divin guidé par Dieu. Ce don de soi est un engagement profond, reflétant la sainteté que chaque homme est censé incarner.

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