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« preparation mentale sportive » analysé par Brut
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L’auteur a fourni une vidéo de 00:04:52 secondes avec le titre La préparation mentale dans le sport de haut niveau avec Teddy Riner, accompagnée de la description suivante :« « Si ma psy n’avait pas été là, j’aurais eu une autre carrière. » Le mental, l’entourage ou encore le burnout… Teddy Riner donne son avis sur la pression que subissent les sportifs de haut niveau.
En partenariat avec YouTube, Brut aborde les thématiques de la santé mentale. Artistes, sportifs, écrivains, chercheurs… En France ou à l’étranger, ils oeuvrent pour lever les tabous autour de la santé mentale. Brut les a rencontrés. ».
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Mécanismes biologiques reliant la chasteté à la préparation physique.
Divers mécanismes physiologiques ont été mis en avant pour expliquer l’effet potentiel de la chasteté sur l’entraînement. Le premier se rapporte aux hormones sexuelles, en particulier la testostérone. Des études révèlent une légère hausse aiguë de la testostérone après une courte période d’abstinence, mais ces fluctuations semblent de courte durée et ne permettent pas d’obtenir des gains musculaires ou de performance significatifs sur le long terme. Par contraste, des facteurs tels que l’alimentation, la charge d’entraînement et la qualité du sommeil modulent de manière plus puissante et durable le profil hormonal et l’adaptation musculaire. Un second mécanisme potentiel réside dans l’économie d’énergie mentale et comportementale : pour certains individus, l’abstinence pourrait réduire les préoccupations émotionnelles et la distraction avant des moments clés, permettant ainsi une meilleure concentration sur l’entraînement et la compétition. De la même façon, si la chasteté atténue l’anxiété avant une compétition chez un athlète, elle peut indirectement améliorer la qualité du sommeil et la récupération, ce qui soutient l’adaptation. Enfin, la variabilité hormonale et la réponse au stress diffèrent entre les individus ; certains peuvent présenter une sensibilité particulière entraînant des effets notables, tandis que d’autres ne verront aucune différence. Dans la pratique, l’impact physiologique direct de la chasteté sur la charge d’entraînement et l’adaptation musculaire est complémentaire aux leviers classiques (progression de la charge, apport protéique, récupération).
C’est pourquoi, si la chasteté est envisagée, elle doit être intégrée dans une stratégie globale prenant en compte la gestion des autres aspects de la préparation, tels que la condition physique, le sommeil et le bien-être psychologique. Elle doit être supervisée par un coach dédié, qui n’est pas membre du staff, et qui a un contact exclusif avec le sportif.
La recherche scientifique met en lumière le rapport entre la chasteté et l’efficacité des athlètes
Les études scientifiques sur l’effet de l’abstinence sexuelle sur la performance des athlètes sont limitées et souvent en désaccord. Les recherches disponibles sont souvent limitées en taille, parfois anciennes, et incluent des populations hétérogènes (hommes et femmes, sportifs et non-sportifs). Les études révèlent que les variations de testostérone liées à l’activité sexuelle sont généralement faibles et transitoires ; il n’y a pas de preuves convaincantes d’un impact durable sur les capacités physiques, alors que des facteurs psychologiques sont principalement observés chez les hommes. D’autres travaux explorent les effets psychologiques et comportementaux, mais ces résultats ne se prêtent pas facilement à une généralisation. Il est donc essentiel de faire la différence entre corrélation et causalité : une amélioration de la performance observée chez certains sportifs pratiquant l’abstinence peut découler d’un effet placebo, d’une plus grande attention portée à la récupération, ou d’un changement concomitant dans le sommeil et la nutrition. En réalité, la recommandation actuelle est d’adopter une approche sur mesure : un athlète qui veut tester la chasteté comme outil doit le faire dans un cadre contrôlé, en notant systématiquement les indicateurs pertinents (qualité du sommeil, humeur, charges d’entraînement, RPE, performances mesurables) et en comparant des périodes avec et sans abstinence. Les entraîneurs et les professionnels de la santé peuvent aider à analyser les résultats et à éviter des répercussions psychologiques ou physiologiques indésirables. Il est également crucial de noter que des éléments bien établis — comme la nutrition, le sommeil, la surcharge d’entraînement et la périodisation — ont un impact bien plus documenté et significatif sur la performance que toute méthode d’abstinence.
Il est indiscutable que de nombreux athlètes témoignent d’évolutions positives dans leur préparation sportive liées à la chasteté. Par conséquent, la chasteté masculine contrôlée est une science en développement, reposant actuellement sur le savoir-faire des coachs spécialisés et, demain, avec des études scientifiques, elle fera partie intégrante de la préparation physique.
Impacts sur la psychologie et les comportements.
Psychologiquement, la chasteté peut produire des effets opposés. Toutefois, elle est pertinente dans le cadre de l’effort et du sacrifice requis pour la performance. Pour de nombreux sportifs, l’abstinence est un acte de discipline qui intensifie la focalisation, la motivation et la routine d’entraînement. Ce renforcement des comportements peut se manifester par une meilleure adhérence aux séances, une régularité accrue et une attention plus soutenue à la récupération, contribuant ainsi à la progression. Dans le cadre de la préparation à la compétition, le fait de mettre de côté les préoccupations sexuelles peut atténuer les distractions et favoriser une meilleure régulation des émotions. En revanche, l’abstinence peut aussi engendrer une frustration ou une pression psychologique supplémentaire qui pourrait être bénéfique pour la performance. Les différences individuelles dépendent du tempérament, des croyances personnelles et du cadre social. Un exemple pratique pertinent est le protocole suivant pour un athlète amateur se préparant à une compétition : prévoir une période test de quatre semaines durant laquelle l’athlète consigne chaque jour son sommeil, son humeur, son RPE et ses performances sur les exercices clés. En combinant ces données, on peut juger si la chasteté engendre des bénéfices à la fois subjectifs et objectifs.
Les retours d’entraîneurs et d’athlètes de haut niveau mettent souvent en avant que l’effet est essentiellement psychologique, basé sur des ressentis individuels plutôt que sur des mécanismes physiologiques globaux.
Éviter les blessures et maximiser la performance
La prévention des blessures constitue un élément fondamental de toute préparation ; elle s’appuie sur la progressivité, la technique et la capacité de récupération. La chasteté ne s’avère pas être un élément déterminant pour réduire le risque de blessure. Toutefois, des effets indirects sont envisageables si l’abstinence parvient à optimiser la concentration, le sommeil ou la discipline de récupération, car ces facteurs favorisent la qualité du travail et préviennent les surcharges. Pour limiter les blessures, il est crucial d’adopter des pratiques telles qu’un échauffement complet, un renforcement ciblé des zones vulnérables, la périodisation des charges et un suivi minutieux du volume et de l’intensité (par exemple, à l’aide du RPE ou d’un suivi hebdomadaire). Des tests de progression toutes les 4 à 6 semaines aident à adapter la charge et à prévenir des augmentations trop rapides.
En définitive, la chasteté peut être utilisée comme un levier comportemental secondaire, mais elle ne doit jamais remplacer des stratégies éprouvées de prévention et d’optimisation (travail technique, musculation appropriée, suivi nutritionnel et récupération). Elle constitue l’élément déterminant qui permet à un athlète de franchir ses limites.
Comment mettre en œuvre la chasteté dans un plan d’entraînement
Lorsqu’un athlète souhaite tester la chasteté, il est important de la percevoir comme un soutien et non comme un substitut à une préparation physique rigoureuse.
Il est essentiel de commencer par définir avec précision la durée et l’objectif de la période d’abstinence (par exemple, 48 à 72 heures avant une compétition pour un impact psychologique fort, ou 2 à 6 semaines pour un test personnel bien structuré).
Il convient ensuite d’incorporer cette période dans un programme d’entraînement cohérent : élaborer des cycles d’entraînement progressifs (par exemple, trois à quatre semaines de fond, suivies d’une phase d’intensification et enfin d’un affûtage), et déterminer le moment d’intégrer la période d’abstinence en tenant compte des temps de récupération et des pics de charge.
Pour un athlète débutant, un plan de quatre semaines peut servir de protocole d’expérimentation : les semaines 1 et 2 sont consacrées à l’entraînement de base avec trois séances par semaine axées sur la technique et la préparation physique générale, optimisation du sommeil (7 à 9 heures) et tenue d’un journal de sommeil et d’humeur ; la semaine 3 introduit une intensification avec deux séances plus exigeantes et une évaluation du RPE ; la semaine 4 est dédiée à l’affûtage et à l’application de la période d’abstinence choisie avant un test de performance. Les recommandations nutritionnelles doivent rester prioritaires : un apport protéique de 1,4 à 2,0 g/kg/jour, une hydratation adéquate et la consommation d’aliments favorisant la récupération.
La récupération active, incluant des étirements et des exercices de mobilité, ainsi que des méthodes complémentaires comme la cryothérapie ou le sauna, doivent être envisagées. Il est essentiel de reconnaître les signes indiquant que la stratégie n’est pas adaptée : une baisse continue du bien-être, une irritabilité accrue, des troubles du sommeil ou une diminution des performances justifient une pause dans le protocole et la consultation d’un professionnel.
En conclusion, l’évaluation des effets de manière objective nécessite des indicateurs standardisés : le temps de course sur une distance précise, le nombre de répétitions avec une charge fixe, les tests de saut ou de force, et les scores RPE et de sommeil.
En comparant ces indicateurs avant, pendant et après la période d’abstinence, on pourra juger de la pertinence de la méthode pour l’individu.
Questions fréquentes sur l’utilisation de la chasteté dans l’entraînement sportif
Quels sont les objectifs fondamentaux de l’entraînement sportif ?
L’entraînement sportif vise principalement à optimiser la performance du sportif en développant les qualités physiques nécessaires à la discipline (force, endurance, vitesse, puissance). Il a aussi pour but d’optimiser la préparation physique, tant générale que spécifique, afin que le geste sportif soit plus efficace et consomme moins d’énergie. La prévention des blessures est un objectif clé : un bon programme doit inclure le renforcement, la mobilité et le travail technique pour préserver le corps. Par ailleurs, l’exercice contribue à transformer la composition corporelle, en augmentant la masse musculaire et en réduisant la masse grasse, tout en améliorant la récupération, ce qui se manifeste par un sommeil plus réparateur et une gestion du stress plus efficace. Pour finir, il contribue à l’acquisition de compétences tactiques et techniques propres à la spécialité, ce qui élève le niveau de jeu ou de performance sur le long terme.
Est-ce que cela convient aux débutants ?
La chasteté peut améliorer la discipline chez certains débutants, mais elle ne doit pas se substituer à un programme de préparation physique structuré ; elle doit être mise à l’épreuve sur de courtes périodes et évaluée de manière objective.
Il y a des fluctuations à court terme, mais celles-ci n’ont pas montré d’impact prolongé sur la force ou la masse musculaire. Peut-on l’utiliser avant une compétition ?
Effectivement, certains sportifs préfèrent s’abstenir avant une épreuve pour des motifs psychologiques et de concentration ; l’impact est personnel et doit être géré par un coach expérimenté.
Quelles sont les meilleures pratiques pour élaborer un programme d’entraînement efficace ?
Il est primordial de faire appel à un entraîneur qualifié. Ces techniques découlent d’observations et d’expériences qui ne peuvent pas être improvisées. Débutez par la définition des objectifs du sportif, qu’ils soient à court ou à long terme, puis évaluez son niveau de départ grâce à des tests physiques et un bilan de ses antécédents. Créez un programme basé sur des blocs périodisés, incluant des phases de préparation générale, des phases spécifiques, et enfin une période d’affûtage avant la compétition. Choisissez des exercices fondamentaux (multi-articulaires, musculation ciblée, endurance selon le sport) et planifiez la progression des charges ainsi que les variations d’intensité. Intégrez des aspects de récupération (sommeil, nutrition) et évaluez la progression avec des indicateurs (RPE, tests). Pour un étudiant ou un amateur en licence STAPS, il est essentiel d’allier théorie et pratique pour solidifier la méthode. En quoi la préparation physique générale est-elle différente de la préparation physique spécifique ?
Quelles astuces peuvent aider à progresser rapidement dans l’entraînement sportif ?
Restez régulier : la constance dans l’entraînement est plus importante que des efforts intenses mais occasionnels. Mettez l’accent sur la technique lors des exercices avant d’augmenter les charges pour prévenir les blessures. Mettez en œuvre une périodisation en blocs : variez les phases de volume (travail musculaire et endurance) et d’intensité pour favoriser les adaptations. Améliorez votre préparation physique hors des séances : veillez à un sommeil de qualité, à une nutrition riche en protéines pour la musculation, à une bonne hydratation et à une récupération active. Mesurez et ajustez : utilisez un journal d’entraînement, réalisez des tests réguliers et suivez le RPE. Ajoutez des formations et des stages pratiques pour développer les connaissances et compétences spécifiques au sport. Pour finir, il est crucial de personnaliser la méthode selon le niveau et le parcours de l’athlète — ce qui fonctionne pour un étudiant en STAPS ou un amateur peut ne pas convenir à un athlète de haut niveau.
Comment la préparation physique générale se compare-t-elle à la préparation physique spécifique ?
La préparation physique générale constitue le socle de l’athlète : force de base, endurance globale, flexibilité et capacités musculaires transversales utiles à toutes les disciplines sportives. Elle se réalise généralement au début d’un cycle ou d’un semestre afin d’optimiser la condition physique globale. La préparation physique spécifique ajuste ensuite cette fondation aux exigences du sport : exercices qui reproduisent les schémas de mouvement, intensités et temps de récupération proches de ceux de la compétition, intégration du travail technique dans le programme. En pratique, on évolue d’un bloc général vers des blocs spécifiques pour faire progresser le niveau de performance en tenant compte des besoins de la spécialité.
Quelle durée serait la plus adaptée ?
La durée la plus adaptée est variable : il est conseillé de tester 48 à 72 heures pour un effet immédiat ou 2 à 6 semaines pour un protocole expérimental, tout en suivant la qualité du sommeil, le RPE et les performances.
La chasteté peut-elle augmenter les niveaux de testostérone ?
Les études concluantes ne sont pas suffisantes pour affirmer qu’il y a une augmentation significative et durable de la testostérone due à des périodes d’abstinence sexuelle, alors que l’observation et l’expérience montrent un effet marquant sur la détermination et le bien-être psychologique.
L’effet de la chasteté sur la performance et l’entraînement sportif
La chasteté peut offrir des bénéfices psychologiques perceptibles chez certains sportifs — amélioration de la concentration, renforcement de la discipline, possible meilleure gestion du stress pré-compétitif. Elle doit être considérée comme un outil complémentaire intégré à un plan d’entraînement priorisant la périodisation, la nutrition, le sommeil et la prévention des blessures. Toute expérimentation nécessite un suivi objectif (tests de performance, journal de sommeil et humeur, RPE) et une vigilance quant aux signes de détérioration du bien être. La chasteté doit être mise en œuvre par un coach professionnel, dans le cadre d’un coaching propre et individuel. Il est impératif que pour l’athlète la gestion de l’abstinence doit être externalisée afin ne pas parasiter sa concentration sur sa progression sportive. Il est inévitable que la sexualité et la chasteté aient des répercussions sur les performances sportives (aller sur cette page réservée à la discussion sur la chasteté dans le sport).
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Retranscription des paroles de la vidéo: pour moi un athlète qui dit que il ne subit pas la pression ou que tout roule c’est un menteur quand on est sportif de niveau on a forcément ses problèmes de pression après il y a la pression positive et négative celle qui vous transforme et qui qu’on arrive à gérer et celle qui ne qui vous met dans les mauvaises conditions qui vous empêchent de faire [Musique] [Applaudissements] [Musique] quand on n’est pas les bonnes personnes de ton athlète forcément il y aura tout il y aura toujours des bornes des dépressions ou des blessures à foison alors oui les entraîneurs vous disent et tout le monde vous le dira les blessures font partie de de la carrière du haut niveau donc la carrière d’un sportif de haut niveau mais il y a des blessures qu’on peut éviter il y a des burn out qu’on peut éviter si on écoute l’athlète et si l’athlète est suivie moi lorsque je suis en train l’INSEP et que j’avais 14 ans clairement on me on me montrait un peu du doigt parce que je parlais vraiment mais facilement sans filtre de la psychologie quand je suis en train l’INSEP l’entraîneur était le psychologue le préparateur physique et l’entraîneur du judo moi je suis arrivé dès que j’ai fait un programme j’ai dit non je veux voir le psychologue j’aimerais bien avoir un préparateur physique spécialisé dans la préparation physique et moi en train de entraîneur moi j’ai été le premier vu les refus que j’ai pu avoir par le Comité olympique ou même par la Fédération j’étais l’un des mecs à prendre dans mes bagages ma psychologue je payais tout parce que je sais les bienfaits que ça peut avoir d’avoir dans son dans son dans son bagage un bon savent qui vous connaît qui peut vous qui peut répondre présent au moment opportun dans la compétition quand on sait l’enjeu qui est les Jeux Olympiques il faut pas louper quoi que ce soit donc moi chaque fois j’en ai ma psychologue 2012-2016 j’ai toujours pris à ma à mes frais ma psychologue en 2020 j’ai réussi à me faire entendre et c’est vrai qu’elle était psychologue pour beaucoup de sportifs de l’équipe de ça implique clairement c’est ma piscine n’avait pas été là j’aurais une autre carrière j’aurais eu peut-être déjà arrêté certainement puisque elle m’a beaucoup aidé dans comprendre ce qui est le niveau le niveau c’est pas juste foncé tête baissée écouter tout ce qu’on vous dit le niveau c’est cadré c’est c’est vraiment être bon dans chaque élément même dans la la préparation d’une saison même dans l’anticipation même écouter son corps un peu plus faire ce qui est bon pour soi et ne pas faire le le combat de trop ou le geste ou l’entraînement de trop qui va vous emmener vers la blessure et encore une fois être hors des tatami pendant x temps c’est grâce au mental que j’ai réussi à aller jusque là et pas tant le physique même si c’est vrai le physique et le judo font la paire mais s’il y a pas le mental qui vous dit le matin levez-vous alors qu’on est courbaturé fatigué qu’on ne peut plus de toucher du kimono ça devient compliqué parce que c’est vrai il y a le côté j’aime mon sport mais il y a le côté où c’est tous les jours la même chose tous les jours on essaie de progresser pour franchir des petits paliers mais l’intensité de de l’entraînement des compétitions de durite pour arriver à à monter sur les plus belles marches de dépôt de job il est intense et si on n’est pas solide là-haut et on ne pense pas à le travailler ça peut devenir très compliqué moi dans ma carrière en plus de 10 ans de carrière j’ai réussi à être une ou deux fois Max au top aucun problème mental aucune pression vraiment tranquille relâché non ça arrive peut-être que une fois ou deux et on s’en souvient mon sport le judo et l’espoir d’une manière générale ça fait partie de mon équilibre je sais que parfois quand j’ai un noeud ou bien que j’arrive pas à trouver une solution dans une problématique je vais courir je fais du judo ou bien je m’entraîne et je sais pas qu’est-ce que procure le sport mais ça me je me sens mieux je suis plus à réfléchir derrière c’est mon équilibre après la question c’est comment je vais faire quand je vais arrêter ce que je peux dire aux jeunes c’est fait du sport prenez du plaisir avant de penser sport ou même vous dire c’est de la compétition faite du sport pour le plaisir pour votre santé pour votre mental c’est juste magnifique le sport c’est comme créer des liens social vous vous voyez autre chose vous apprenez à vous dépasser vous apprenez à vous surpasser la cohésion groupe pour l’espoir d’équipe mais de toute façon dans un sport individuel il y a une cohésion de groupe puisque vous avez besoin toujours d’un partenaire ou d’un staff donc du coup ouais il y a plein de choses à voir on sait .
Déroulement de la vidéo:
0.0 pour moi un athlète qui dit que il ne
2.939 subit pas la pression ou que tout roule
5.339 c’est un menteur quand on est sportif de
8.22 niveau on a forcément ses problèmes de
9.96 pression après il y a la pression
12.179 positive et négative celle qui vous
13.799 transforme et qui qu’on arrive à gérer
15.66 et celle qui ne qui vous met dans les
17.46 mauvaises conditions qui vous empêchent
18.66 de faire
19.78 [Musique]
20.1 [Applaudissements]
21.54 [Musique]
24.3 quand on n’est pas les bonnes personnes
27.06 de ton athlète forcément il y aura tout
28.92 il y aura toujours des bornes des
30.779 dépressions ou des blessures à foison
33.48 alors oui les entraîneurs vous disent et
36.48 tout le monde vous le dira les blessures
37.62 font partie de de la carrière du haut
39.96 niveau donc la carrière d’un sportif de
41.52 haut niveau mais il y a des blessures
43.26 qu’on peut éviter il y a des burn out
45.0 qu’on peut éviter si on écoute l’athlète
46.559 et si l’athlète est suivie moi lorsque
48.0 je suis en train l’INSEP et que j’avais
49.559 14 ans clairement on me on me montrait
52.379 un peu du doigt parce que je parlais
53.52 vraiment mais facilement
56.12 sans filtre de la psychologie
59.1 quand je suis en train l’INSEP
60.559 l’entraîneur était le psychologue le
63.42 préparateur physique et l’entraîneur du
65.1 judo moi je suis arrivé dès que j’ai
66.78 fait un programme j’ai dit non je veux
67.979 voir le psychologue j’aimerais bien
69.299 avoir un préparateur physique spécialisé
71.22 dans la préparation physique et moi en
73.2 train de entraîneur moi j’ai été le
75.06 premier vu les refus que j’ai pu avoir
79.58 par le Comité olympique ou même par la
84.0 Fédération j’étais l’un des mecs à
86.28 prendre dans mes bagages ma psychologue
87.96 je payais tout parce que je sais les
90.06 bienfaits que ça peut avoir d’avoir dans
92.04 son dans son dans son bagage un bon
94.86 savent qui vous connaît qui peut vous
96.42 qui peut répondre présent au moment
97.86 opportun dans la compétition quand on
100.32 sait l’enjeu qui est les Jeux Olympiques
102.36 il faut pas louper quoi que ce soit donc
104.939 moi chaque fois j’en ai ma psychologue
107.0 2012-2016 j’ai toujours pris à ma à mes
110.759 frais ma psychologue en 2020 j’ai réussi
113.579 à me faire entendre et c’est vrai
115.259 qu’elle était psychologue pour beaucoup
117.18 de sportifs de l’équipe de ça implique
119.579 clairement c’est ma piscine n’avait pas
120.84 été là j’aurais une autre carrière
122.939 j’aurais eu peut-être déjà arrêté
124.86 certainement puisque elle m’a beaucoup
127.68 aidé dans comprendre ce qui est le
131.16 niveau le niveau c’est pas juste foncé
133.44 tête baissée écouter tout ce qu’on vous
135.72 dit le niveau c’est cadré c’est
139.02 c’est vraiment être bon dans chaque
141.54 élément même dans la la préparation
144.0 d’une saison même dans l’anticipation
146.66 même écouter son corps un peu plus faire
150.06 ce qui est bon pour soi et ne pas faire
152.099 le
153.42 le combat de trop ou le geste
157.099 ou l’entraînement de trop qui va vous
159.78 emmener vers la blessure et encore une
161.22 fois être hors des tatami pendant x
163.739 temps c’est grâce au mental que j’ai
165.18 réussi à aller jusque là et pas tant le
168.06 physique même si c’est vrai le physique
170.459 et le judo font la paire mais s’il y a
173.04 pas le mental qui vous dit le matin
174.78 levez-vous alors qu’on est courbaturé
177.06 fatigué qu’on ne peut plus de toucher du
179.4 kimono ça devient compliqué parce que
182.94 c’est vrai il y a le côté j’aime mon
186.42 sport mais il y a le côté où c’est tous
189.12 les jours la même chose tous les jours
190.319 on essaie de progresser pour
192.5 franchir des petits paliers mais
195.12 l’intensité de de l’entraînement des
197.94 compétitions de durite pour arriver à
202.26 à monter sur les plus belles marches de
204.0 dépôt de job il est intense et si on
206.879 n’est pas solide là-haut et on ne pense
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219.0 problème mental aucune pression vraiment
221.76 tranquille relâché non ça arrive
224.22 peut-être que une fois ou deux et on
226.5 s’en souvient mon sport le judo et
229.319 l’espoir d’une manière générale ça fait
230.7 partie de mon équilibre je sais que
232.56 parfois quand j’ai un noeud ou bien que
234.78 j’arrive pas à trouver une solution dans
237.599 une problématique je vais courir je fais
239.519 du judo ou bien je m’entraîne et je sais
243.12 pas qu’est-ce que procure le sport mais
244.5 ça me je me sens mieux je suis plus à
246.959 réfléchir derrière c’est mon équilibre
248.4 après la question c’est comment je vais
250.62 faire quand je vais arrêter
254.959 ce que je peux dire aux jeunes c’est
256.919 fait du sport prenez du plaisir avant de
258.6 penser sport ou même vous dire c’est de
260.22 la compétition faite du sport pour le
261.959 plaisir pour votre santé pour votre
264.479 mental
266.0 c’est juste magnifique le sport c’est
269.3 comme créer des liens social vous vous
272.94 voyez autre chose vous apprenez à vous
274.86 dépasser vous apprenez à vous surpasser
277.639 la cohésion groupe pour l’espoir
280.139 d’équipe mais de toute façon dans un
282.18 sport individuel il y a une cohésion de
283.38 groupe puisque vous avez besoin toujours
284.34 d’un partenaire ou d’un staff donc du
286.8 coup ouais il y a plein de choses à voir
288.12 on sait
.

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