mental sports preparation; La plus grande erreur mentale commise par les entraîneurs et les athlètes

Un sujet passionnant : «mental sports preparation», présenté dans une vidéo YouTube

Plongée dans « mental sports preparation » avec Competitive Advantage / Dr. Alan Goldberg

Sur YouTube, Competitive Advantage / Dr. Alan Goldberg a récemment ajouté cette vidéo
ayant pour thème « mental sports preparation »:

Cette vidéo suscitait de l’intérêt au moment où nous l’avons trouvée. Le compteur de Likes indiquait: 2761.

Notez la durée de la vidéo (00:03:39s), le titre (The Biggest Mental Mistake Made by Coaches and Athletes) ainsi que l’auteur, suivis de la description :« Voulez-vous gagner plus? Le Dr G. explique pourquoi la prise de vos objectifs et vos attentes dans un grand jeu peut vous préparer à s’étouffer. Le Dr Alan Goldberg, consultant en performance de pointe connu de manière internationale et directeur de l’avantage compétitif se spécialise dans l’aide aux athlètes de tous les sports à tous les niveaux, les effondrements de buste et surmontent les peurs et les blocs de performance. Le site Web du Dr G, http://www.comPETITIVEDGE.com propose des milliers de pages de ressources gratuites, notamment des questionnaires de ténacité mentale pour les athlètes, les parents et les entraîneurs, des articles sur tous les aspects de l’entraînement et de la parentalité dans les sports de jeunesse, ainsi qu’un blog de ténacité mentale. (Tagstotranslate) Entraîneurs ».

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L’effet de la chasteté sur la performance et l’entraînement sportif

La chasteté peut offrir des bénéfices psychologiques perceptibles chez certains sportifs — amélioration de la concentration, renforcement de la discipline, possible meilleure gestion du stress pré-compétitif. Elle doit être considérée comme un outil complémentaire intégré à un plan d’entraînement priorisant la périodisation, la nutrition, le sommeil et la prévention des blessures. Toute expérimentation nécessite un suivi objectif (tests de performance, journal de sommeil et humeur, RPE) et une vigilance quant aux signes de détérioration du bien être. La chasteté doit être mise en œuvre par un coach professionnel, dans le cadre d’un coaching propre et individuel. Il est impératif que pour l’athlète la gestion de l’abstinence doit être externalisée afin ne pas parasiter sa concentration sur sa progression sportive. Des méthodes qualifiées aident à maîtriser sa sexualité, dans l’objectif d’optimiser ses performances en sport. Analysez comment la sexualité et la chasteté peuvent jouer un rôle dans vos performances sportives, afin d’optimiser ses résultats en compétition.

Protection contre les blessures et optimisation des performances

La prévention des blessures demeure un aspect central de toute préparation ; elle s’articule autour de la progressivité, de la technique et de la capacité de récupération. La chasteté ne se manifeste pas comme un facteur direct de diminution des risques de blessure. Cependant, des effets indirects sont envisageables si l’abstinence contribue effectivement à renforcer la concentration, le sommeil ou la discipline de récupération, car ces aspects améliorent la qualité du travail et préviennent les surcharges. Pour réduire le risque de blessures, il est essentiel d’adopter des pratiques telles qu’un échauffement complet, un renforcement ciblé des zones vulnérables, la périodisation des charges et un suivi minutieux du volume et de l’intensité (par exemple, à l’aide du RPE ou d’un suivi hebdomadaire). Des tests de progression toutes les 4 à 6 semaines aident à ajuster la charge et à prévenir des augmentations trop rapides.

En résumé, la chasteté peut être considérée comme un levier comportemental secondaire, mais elle ne doit jamais se substituer à des stratégies éprouvées de prévention et d’optimisation (travail technique, musculation appropriée, suivi nutritionnel et récupération). Elle constitue l’élément déterminant qui aide un athlète à franchir ses limites.

Questions fréquentes sur l’utilisation de la chasteté dans l’entraînement sportif

Quelles stratégies adopter pour avancer rapidement en entraînement sportif ?

Adoptez une routine régulière : la régularité du travail est plus efficace que des efforts sporadiques et intenses. Priorisez la technique sur les exercices avant d’augmenter les charges pour éviter les blessures. Mettez en œuvre une périodisation en blocs : variez les phases de volume (travail musculaire et endurance) et d’intensité pour favoriser les adaptations. Optimisez votre préparation physique en dehors des séances : dormez suffisamment, consommez des protéines pour la musculation, hydratez-vous bien et pratiquez la récupération active. Évaluez et ajustez : tenez un journal d’entraînement, effectuez des tests réguliers et suivez le RPE. Ajoutez des stages pratiques et des formations pour acquérir les connaissances et compétences nécessaires dans le domaine sportif. Pour finir, veillez à toujours personnaliser la méthode selon le niveau et le parcours de l’athlète — ce qui est approprié pour un étudiant en STAPS ou un amateur peut différer pour un athlète de haut niveau.

La chasteté peut-elle avoir un impact sur la testostérone ?

Les études concluantes ne suffisent pas à établir qu’il y a une augmentation significative et durable de la testostérone due à des périodes d’abstinence sexuelle, alors que l’observation et l’expérience montrent un impact notable sur la détermination et le bien-être psychologique.

Des variations à court terme sont présentes, mais elles n’ont pas prouvé d’effet durable sur la force ou la masse musculaire. Peut-on l’utiliser avant une compétition ?

Oui, certains sportifs adoptent l’abstinence avant une épreuve pour des motifs psychologiques et de concentration ; l’effet est variable et doit être contrôlé par un entraîneur qualifié.

Quelles sont les distinctions entre la préparation physique générale et la préparation physique spécifique ?

La préparation physique générale constitue le socle de l’athlète : force de base, endurance globale, flexibilité et capacités musculaires transversales utiles à toutes les disciplines sportives. Cette phase a lieu typiquement en début de cycle ou de semestre pour renforcer la forme générale. La préparation physique spécifique modifie ensuite cette base pour s’adapter aux contraintes sportives : exercices imitant les mouvements, intensités et temps de récupération alignés sur ceux de la compétition, travail technique intégré au programme. En application, on transitionne d’un bloc général à des blocs spécifiques pour élever le niveau de performance en tenant compte des besoins de la spécialité.

Quels sont les objectifs fondamentaux de l’entraînement sportif ?

L’entraînement sportif a pour objectif principal d’améliorer la performance de l’athlète en développant les qualités physiques essentielles au sport (force, endurance, vitesse, puissance). Il vise également à optimiser la préparation physique générale et spécifique pour rendre le geste sportif plus efficace et moins énergivore. La prévention des blessures est un objectif clé : un programme efficace doit inclure le renforcement, la mobilité et le travail technique pour protéger le corps. L’exercice physique, en outre, est essentiel pour changer la composition du corps, en augmentant la masse musculaire et en réduisant la masse grasse, tout en facilitant une récupération plus efficace, notamment par un sommeil réparateur et une meilleure gestion du stress. En résumé, il aide à cultiver des compétences tactiques et techniques propres à la spécialité, ce qui augmente le niveau de jeu ou de performance sur le long terme.

Est-ce que c’est adapté pour ceux qui commencent ?

La chasteté peut favoriser la discipline chez certains débutants, mais elle ne doit pas se substituer à un programme de préparation physique bien défini ; elle doit être testée sur des périodes limitées et évaluée objectivement.

Quelle serait la durée parfaite ?

La durée parfaite est flexible : essayer 48 à 72 heures pour un impact rapide ou 2 à 6 semaines pour un protocole d’expérimentation, en gardant un œil sur la qualité du sommeil, le RPE et les performances.

Quelles sont les meilleures pratiques pour élaborer un programme d’entraînement efficace ?

La règle d’or est de consulter un coach professionnel. Ces techniques résultent d’une observation minutieuse et d’une expérience qui ne peuvent pas être improvisées. Démarrez par la définition des objectifs du sportif, à court et à long terme, puis réalisez une évaluation de son niveau initial à travers des tests physiques et un bilan de ses antécédents. Développez un programme structuré en blocs périodisés, avec des phases de préparation générale, des phases spécifiques, et un affûtage final avant la compétition. Identifiez des exercices stratégiques (multi-articulaires, travail de musculation ciblé, endurance selon le sport) et organisez la progression des charges ainsi que les variations d’intensité. Incluez la récupération (sommeil, nutrition) dans votre approche et suivez la progression avec des indicateurs (RPE, tests). Pour un étudiant ou un amateur en licence STAPS, combinez les enseignements théoriques avec des sessions pratiques pour mieux assimiler la méthode. Quelles sont les nuances entre la préparation physique générale et la préparation physique spécifique ?

Les analyses scientifiques mettent en avant le lien entre la chasteté et la performance des sportifs

Les recherches concernant l’effet de l’abstinence sexuelle sur la performance des athlètes sont peu nombreuses et souvent contradictoires. Les recherches existantes sont souvent de faible envergure, parfois anciennes, et incluent des populations diverses (hommes vs femmes, sportifs vs non-sportifs). Les recherches montrent que les variations de testostérone liées à l’activité sexuelle sont souvent faibles et transitoires ; il n’existe pas de preuves solides d’un effet durable sur les performances physiques, tandis que des facteurs psychologiques sont principalement observés chez les hommes. D’autres travaux explorent les effets psychologiques et comportementaux, mais ces résultats ne se prêtent pas facilement à une généralisation. Il est fondamental de faire la distinction entre corrélation et causalité : les performances améliorées chez certains athlètes abstinents peuvent être influencées par un effet placebo, une attention accrue à la récupération, ou des changements dans le sommeil et la nutrition. Dans la pratique, il est recommandé d’adopter une approche individualisée : si un athlète souhaite explorer la chasteté comme outil, il doit le faire dans un cadre structuré, en notant systématiquement les indicateurs pertinents (qualité du sommeil, humeur, charges d’entraînement, RPE, performances mesurables) et en comparant des périodes avec et sans abstinence. Les préparateurs physiques et les professionnels de santé peuvent aider à interpréter les résultats et à éviter des conséquences psychologiques ou physiologiques indésirables. Enfin, il convient de rappeler que des facteurs reconnus — nutrition, sommeil, surcharge d’entraînement, périodisation — ont des effets beaucoup mieux documentés et plus importants sur la performance que toute stratégie d’abstinence.

Ce qui est clair, c’est que de nombreux athlètes évoquent des résultats positifs dans leur préparation sportive associés à la chasteté. La chasteté masculine contrôlée est donc une science en pleine évolution, aujourd’hui fondée sur l’expertise des entraîneurs spécialisés et, demain, avec des recherches scientifiques, elle sera intégrée dans la préparation physique.

Comment fusionner la chasteté avec un programme d’entraînement

Pour un athlète qui souhaite explorer la chasteté, il est essentiel de l’envisager comme un complément et non comme un remplacement d’une préparation physique soutenue.

La première étape à suivre est de définir clairement la durée et les objectifs de la période d’abstinence (par exemple, 48 à 72 heures avant une compétition pour un effet psychologique intense, ou 2 à 6 semaines pour un test personnel structuré).

Il convient ensuite d’incorporer cette période dans un programme d’entraînement cohérent : élaborer des cycles d’entraînement progressifs (par exemple, trois à quatre semaines de fond, suivies d’une phase d’intensification et enfin d’un affûtage), et déterminer le moment d’intégrer la période d’abstinence en tenant compte des temps de récupération et des pics de charge.

Pour un novice, un programme de quatre semaines peut servir de cadre d’essai : les deux premières semaines sont dédiées à l’entraînement fondamental avec trois séances hebdomadaires axées sur la technique et la préparation physique générale, optimisation du sommeil (7 à 9 heures) et tenue d’un journal de sommeil et d’humeur ; la troisième semaine voit une montée en intensité avec deux séances plus exigeantes et une évaluation du RPE ; la quatrième semaine est consacrée à l’affûtage et à l’application de la période d’abstinence choisie avant un test de performance. Les conseils nutritionnels doivent rester prioritaires : un apport protéique de 1,4 à 2,0 g/kg/jour, une hydratation appropriée et la consommation d’aliments favorisant la récupération.

Il est conseillé d’inclure la récupération active, comme les étirements et la mobilité, ainsi que des moyens complémentaires tels que la cryothérapie ou le sauna. Il est vital d’identifier les signes d’une stratégie inadaptée : une baisse persistante du bien-être, une irritabilité accrue, des troubles du sommeil ou une diminution des performances justifient une pause dans le protocole et la recherche d’un avis professionnel.

Enfin, pour évaluer objectivement les effets, il est essentiel d’utiliser des indicateurs standardisés : temps de course sur une distance spécifique, nombre de répétitions avec une charge fixe, tests de saut ou de force, ainsi que les scores RPE et de sommeil.

En comparant ces indicateurs avant, pendant et après la période d’abstinence, on pourra évaluer l’adéquation de la méthode pour l’individu.

Interrelations physiologiques entre l’abstinence et l’entraînement sportif.

Divers mécanismes physiologiques ont été suggérés pour comprendre comment la chasteté pourrait affecter l’entraînement. Le premier d’entre eux se rapporte aux hormones sexuelles, en particulier la testostérone. Plusieurs recherches montrent une légère élévation de la testostérone après une courte période d’abstinence, mais ces fluctuations semblent temporaires et ne sont pas suffisantes pour entraîner des gains musculaires ou de performance significatifs. En revanche, des aspects tels que la nutrition, la charge d’entraînement et la qualité du sommeil influencent de façon plus marquée et pérenne le profil hormonal et l’adaptation musculaire. Un autre mécanisme envisageable est l’économie d’énergie mentale et comportementale : pour certains, l’abstinence pourrait atténuer les préoccupations émotionnelles et la distraction avant des événements cruciaux, permettant ainsi de mieux se concentrer sur l’entraînement et la compétition. De même, si la chasteté diminue l’anxiété pré-compétitive chez un sportif, elle peut indirectement améliorer la qualité du sommeil et la récupération, ce qui favorise l’adaptation. Enfin, la périodicité hormonale et la réponse au stress varient entre individus ; certains peuvent présenter une sensibilité particulière menant à des effets perceptibles, là où d’autres n’observeront aucune différence. Dans la réalité, l’impact physiologique direct de la chasteté sur la charge d’entraînement et l’adaptation musculaire vient s’ajouter aux méthodes habituelles (progression de la charge, consommation de protéines, récupération).

C’est pourquoi, si la chasteté est envisagée, elle doit être intégrée dans une stratégie globale prenant en compte la gestion des autres dimensions de la préparation, telles que la condition physique, le sommeil et le bien-être psychologique. Elle doit être gérée par un coach indépendant, en relation exclusive avec le sportif.

Aspects psychologiques et comportementaux

Psychologiquement, la chasteté peut avoir des effets contrastés. Néanmoins, elle est liée à l’idée d’effort et de sacrifice nécessaire avant d’atteindre la performance. Pour beaucoup d’athlètes, opter pour l’abstinence est un choix disciplinaire qui améliore la concentration, la motivation et la routine d’entraînement. Ce renforcement des comportements peut se traduire par une plus grande assiduité aux séances, une régularité améliorée et une attention accrue à la récupération, autant de facteurs bénéfiques pour la progression. En période pré-compétitive, mettre de côté les préoccupations sexuelles peut réduire les sources de distraction et aider à gérer la tension émotionnelle. Néanmoins, l’inverse est également vrai : l’abstinence peut engendrer une frustration ou une pression psychologique supplémentaire qui pourrait être bénéfique pour la performance. Les différences individuelles dépendent du tempérament, des croyances personnelles et du cadre social. Un exemple concret à considérer est le protocole suivant pour un athlète amateur en préparation d’une compétition : prévoir une période d’essai de quatre semaines où l’athlète consigne quotidiennement son sommeil, son humeur, son RPE et ses performances lors des exercices principaux. En combinant ces données, on peut juger si la chasteté engendre des bénéfices à la fois subjectifs et objectifs.

Les témoignages d’entraîneurs et d’athlètes de haut niveau illustrent souvent que l’impact est principalement psychologique, ancré dans le ressenti personnel plutôt que dans des processus physiologiques universels.

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Retranscription des paroles de la vidéo: one of the biggest mistakes athletes make going into big games and coaches make is they take the wrong goals into the game what are the wrong goals when you walk on the field what are the wrong goals winning that’s the wrong goal you know why that’s the wrong goal that’s a byproduct of doing everything right you know don’t have to worry about winning the problem is if you’re focusing your kids on winning you’re going to set them up to fail because you’re focusing them on something that’s going to get them uptight and it’s going to distract them if you’re focusing them on winning you’re going to set up something inside of them where they’re afraid of making mistakes and they’re going to get kind of preoccupied with that now trust me I’m not ever telling athletes you don’t want to have goals goals are critically important why why are goals important what’s the purpose of goals something to work towards goals motivate us to train hard see what a lot of kids don’t understand are your goals your expectations they’re training tools they’re training tools to get you to work hard in practice the biggest mistake a kid could make make and you as a coach as well is to take your goals or expectations onto the field with you when it counts okay because if you walk on the field with expectations you’re creating this internal sense of urgency I have to I’ve got to I need to oh my God what if I don’t and then what happens is it creates a certain headset and the headset it creates is well I’m going to give you two of them it’s the opposite sides of the same coin if I’m pressuring myself and this critical or this game is critical then number one I’ll either try too hard I’ll muscle everything okay and my timing will be way off or I’ll get really tight and really tentative and I’ll start playing cautiously so it means I get up to the plate and I’m taking pictures and I’m striking out a lot okay goals are a training tool for practice and if you’ve done your work in practice it’s there it’s already inside it’s like you’ve programmed the computer what you want to do when you get to a game is gently hit the print button you don’t have to pound on the sucker you know it’s like you don’t want to be serious about this cuz serious shuts kids down and my feeling is the bigger the game the more important it is can you imagine what it’s like for an Olympic Athlete to go into the Olympics and think to themselves I have sweated and busted my ass and and bled for for 4 years for this moment so I better not mess it up what’s that going to do to you I mean you know it’s intuitively you know that but it’s actually a mental mistake to to take the outcome and what’s important into a game that is it’s a mental mistake the time to think about the importance of a performance practice that’s why you work that’s why we’re working hard today we want to win the state championship think about it every day don’t bring it into games with you though you know we need to win today cuz we need to win the state champion Championship that’s a mistake .

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Déroulement de la vidéo:

0.48 one of the biggest
2.12 mistakes athletes make going into big
4.92 games and coaches make is they take the
9.24 wrong goals into the
12.16 game what are the wrong goals when you
14.759 walk on the
16.439 field what are the wrong
20.32 goals winning that’s the wrong goal you
24.48 know why that’s the wrong goal that’s a
27.0 byproduct of doing everything right you
29.84 know don’t have to worry about winning
31.84 the problem is if you’re focusing your
33.68 kids on winning you’re going to set them
35.719 up to fail because you’re focusing them
39.04 on something that’s going to get them
40.48 uptight and it’s going to distract them
43.079 if you’re focusing them on winning
44.879 you’re going to set up something inside
47.36 of them where they’re afraid of making
49.199 mistakes and they’re going to get kind
51.12 of preoccupied with that now trust me
55.44 I’m not ever telling athletes you don’t
58.359 want to have goals
60.28 goals are critically
63.04 important why why are goals important
66.24 what’s the purpose of
70.159 goals something to work towards goals
73.479 motivate us to train hard see what a lot
76.759 of kids don’t
79.04 understand are your goals your
81.479 expectations they’re training tools
84.32 they’re training tools to get you to
86.4 work hard in practice the biggest
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90.72 a coach as well is to take your goals or
93.28 expectations onto the field with you
95.6 when it
96.759 counts okay because if you walk on the
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101.64 this internal sense of urgency I have to
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111.92 headset it creates is well I’m going to
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135.0 playing cautiously so it means I get up
137.84 to the plate and I’m taking pictures and
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149.04 practice it’s there it’s already inside
151.959 it’s like you’ve programmed the computer
154.519 what you want to do when you get to a
155.72 game is gently hit the print button you
158.0 don’t have to pound on the sucker you
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163.56 kids down and my feeling is the bigger
165.76 the game the more important it is can
168.04 you imagine what it’s like for an
169.36 Olympic
170.44 Athlete to go into the Olympics and
173.44 think to themselves I have sweated and
176.72 busted my ass and and bled for for 4
180.48 years for this moment so I better not
183.68 mess it up what’s that going to do to
186.4 you I mean you know it’s intuitively you
189.08 know that but it’s actually a mental
192.48 mistake to to take the outcome and
196.04 what’s important into a game that is
199.12 it’s a mental mistake the time to think
201.12 about the importance of a performance
203.2 practice that’s why you work that’s why
205.319 we’re working hard today we want to win
207.0 the state championship think about it
208.959 every day don’t bring it into games with
211.04 you though you know we need to win today
213.2 cuz we need to win the state champion
215.28 Championship that’s a mistake
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