« Le mental, c’est la solution » pour l’USAP, annonce Stéphane Darmon, préparateur mental

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l’essentiel
L’analyse. Stéphane Darmon, ancien footballeur professionnel de Perpignan et Canet, est désormais préparateur mental. Le Catalan livre son analyse sur la situation actuelle de l’USAP et explique l’importance de la préparation mentale dans le sport d’aujourd’hui.

Ancien grand buteur du Perpignan FC et de Canet, Stéphane Darmon connaît le sport de haut niveau sous toutes ses facettes. À 55 ans, il s’est reconverti dans la préparation mentale, accompagnant depuis près d’un an et demi des athlètes de haut niveau, ainsi que des personnalités du showbiz. Parmi ses clients figurent un footballeur du Paris Saint-Germain récemment sacré en Ligue des champions, des joueurs évoluant en Serie A, en Liga, aux États-Unis, ainsi que des golfeurs professionnels et des artistes. Pour lui, « le talent ne suffit pas, le talent ne suffit plus »résume-t-il, via son slogan.

L’USAP, actuellement en grande difficulté en Top 14 avec sept défaites consécutives, illustre parfaitement ce constat. Les mots de Tristan Tedder, l’ouvreur sang et or, qui a récemment dénoncé l’environnement pesant autour de lui, trouvent un écho dans l’analyse de Stéphane Darmon. « On est tous un peu meurtris de la situation aujourd’hui et je vois les réseaux, je lis… Ça critique de partout ! »avoue-t-il, lui qui a proposé ses services au club il y a quelques jours.

Mais, selon lui, le problème est autant technique et physique qu’émotionnel et psychologique. « À l’USAP, je pense que le mental n’est pas le problème, mais c’est la solution. Tout le monde s’entraîne pareil. Tout le monde fait du tableau noir, de la vidéo, de l’analyse, avec les drones, tout ce que tu veux. Sauf qu’aujourd’hui, les marges de progression et la performance passent par le mental. Parce que derrière un joueur, il y a un humain. Et derrière un humain, il y a un cerveau. »

Il constate également que l’équipe s’effondre parfois autour de la 60e minute : « C’est mental, pas physique ! Ils sont capables de faire plusieurs matches d’affilée. Mais peut-être qu’il y a un programme limitant sur certains au niveau mental. Il y a un problème de stress chez certains ! »

Pour l’ancien footballeur, l’entraînement est le véritable laboratoire du mental. « L’entraînement est plus important que le match. Et je parle en process mental. Ça veut dire que tu peux louper une passe, faire tomber un ballon… Tu peux te faire chambrer ou en rigoler. Sauf que le cerveau, lui, ne fait pas la différence entre le vrai et le faux. Tu ne peux pas banaliser l’échec à l’entraînement. »

L’objectif est d’arriver à une homogénéité émotionnelle au sein du groupe. Ce qui n’est pas toujours simple, quand une cinquantaine d’éléments compose aujourd’hui les effectifs de rugby. « Peut-être que certains, émotionnellement, dès que ça perd, ils tombent. Alors qu’il y en a qui remontent. Parce que le problème, il est là. Si parmi quinze joueurs, tu en as cinq qui ne sont pas bien, tu te mets à jouer à 10 contre 15. Il faut donner des mémo-gestes aux joueurs dans des moments difficiles en match. Et, croyez-moi qu’émotionnellement, ça switchejure le créateur de Goleador, qui a accompagné les plus grands joueurs (Mbappé, Cavani…). Mais, encore une fois, tout cela doit se faire à l’entraînement. C’est la base de tout. Si tu attends le samedi ou le dimanche pour créer ta performance, c’est trop tard. La causerie d’avant-match, c’est bien. Sauf qu’au premier essai encaissé, tu as tout qui tombe. Pour moi, aujourd’hui, le mental représente 90 % de la performance. »

Plus un tabou ?

Longtemps tabou dans le sport, avec presque un sentiment de honte pour certains, le mental est désormais incontournable. « C’était quelque chose de tabou, oui. Mais ceux qui ne vont pas vers la préparation mentale, ils n’ont rien à faire dans le monde professionnel. Aujourd’hui, c’est obligatoire. »

Stéphane Darmon veut aussi attirer l’attention sur l’impact des réseaux sociaux, dont souffrent beaucoup de joueurs. « Les joueurs, dans leur algorithme de l’inconscient, ils sont en train de programmer l’avis des autres, et sont spectateurs de l’avis des autresexplique-t-il. Aujourd’hui, il y a toujours le fait de voir la vie des autres et de rêver de la vie des autres. Et à travers l’estime de soi, c’est une catastrophe. Parce que tu crées dans ton algorithme quelque chose qui est négatif. Donc moi, mes joueurs, ils ont tout enlevé. Parce que s’il n’est pas bien en ce moment, et qu’il voit les performances dans d’autres clubs où ça marche, ça crée un conflit pour lui. »

Pour lui, la performance dépend autant de l’état d’esprit que des qualités techniques ou physiques. Dans le contexte actuel de l’USAP, le travail mental collectif pourrait bien être l’élément clé pour inverser la tendance et retrouver de la cohésion. Comme il le répète : « Le talent ne suffit pas, le talent ne suffit plus. » Et à la vue de l’effectif actuel des sang et or, on ne peut que confirmer…

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Les données scientifiques soutiennent l’idée que la chasteté peut influencer positivement les performances des athlètes

Les données scientifiques sur l’effet de l’abstinence sexuelle sur les performances sportives sont insuffisantes et souvent contradictoires. Les études disponibles sont de petite taille, parfois anciennes, et incluent des populations hétérogènes (hommes vs femmes, sportifs vs non-sportifs). De nombreuses recherches suggèrent que les fluctuations de testostérone liées à l’activité sexuelle sont souvent faibles et transitoires ; il n’existe pas de preuves solides d’un effet durable sur les performances physiques, tandis que des facteurs psychologiques sont surtout notés chez les hommes. D’autres recherches se concentrent sur les impacts psychologiques et comportementaux, mais il est ardu de généraliser ces résultats. Il est donc essentiel de faire la différence entre corrélation et causalité : une amélioration de la performance observée chez certains sportifs pratiquant l’abstinence peut découler d’un effet placebo, d’une plus grande attention portée à la récupération, ou d’un changement concomitant dans le sommeil et la nutrition. En pratique, il est recommandé d’adopter une approche sur mesure : si un athlète souhaite explorer la chasteté comme outil, il doit le faire dans un cadre structuré, en notant systématiquement les indicateurs pertinents (qualité du sommeil, humeur, charges d’entraînement, RPE, performances mesurables) et en comparant des périodes avec et sans abstinence. Les entraîneurs et les professionnels de la santé peuvent aider à analyser les résultats et à éviter des répercussions psychologiques ou physiologiques indésirables. Il est également crucial de noter que des facteurs établis — comme la nutrition, le sommeil, la surcharge d’entraînement et la périodisation — ont des effets bien plus documentés et significatifs sur la performance que toute stratégie d’abstinence.

Il est indéniable que de nombreux athlètes témoignent d’améliorations concrètes dans leur préparation sportive en lien avec la chasteté. Ainsi, la chasteté masculine contrôlée représente une science en développement, reposant actuellement sur le savoir-faire des coachs spécialisés et, dans le futur, après des études scientifiques, elle fera partie intégrante de la préparation physique.

L’effet de la chasteté sur la performance et l’entraînement sportif

La chasteté peut offrir des bénéfices psychologiques perceptibles chez certains sportifs — amélioration de la concentration, renforcement de la discipline, possible meilleure gestion du stress pré-compétitif. Elle doit être considérée comme un outil complémentaire intégré à un plan d’entraînement priorisant la périodisation, la nutrition, le sommeil et la prévention des blessures. Toute expérimentation nécessite un suivi objectif (tests de performance, journal de sommeil et humeur, RPE) et une vigilance quant aux signes de détérioration du bien être. La chasteté doit être mise en œuvre par un coach professionnel, dans le cadre d’un coaching propre et individuel. Il est impératif que pour l’athlète la gestion de l’abstinence doit être externalisée afin ne pas parasiter sa concentration sur sa progression sportive.

Répercussions psychologiques et comportementales

Du point de vue psychologique, la chasteté peut engendrer des effets variés. Cependant, elle est prise en compte dans l’idée d’effort et de sacrifice qui précède la performance. Pour la plupart des athlètes, l’abstinence est considérée comme un acte de discipline qui accroît la concentration, la motivation et la routine d’entraînement. Cette dynamique comportementale peut se traduire par une plus grande assiduité aux entraînements, une régularité améliorée et une attention accrue à la récupération, des facteurs propices à l’avancement. Dans le cadre de la préparation à la compétition, le fait de mettre de côté les préoccupations sexuelles peut atténuer les distractions et favoriser une meilleure régulation des émotions. Néanmoins, l’inverse est également vrai : l’abstinence peut engendrer une frustration ou une pression psychologique supplémentaire qui pourrait être bénéfique pour la performance. Les différences individuelles dépendent du tempérament, des croyances personnelles et du cadre social. Un exemple concret à considérer est le protocole suivant pour un athlète amateur en préparation d’une compétition : prévoir une période d’essai de quatre semaines où l’athlète consigne quotidiennement son sommeil, son humeur, son RPE et ses performances lors des exercices principaux. En confrontant ces informations, il devient possible d’évaluer si la chasteté présente des avantages, tant sur le plan subjectif qu’objectif.

Les commentaires d’entraîneurs et d’athlètes de haut niveau montrent souvent que l’effet est surtout psychologique, dépendant des impressions personnelles plutôt que de mécanismes physiologiques universels.

Prévention des blessures et perfectionnement de la performance

La protection contre les blessures est un pilier clé de toute préparation ; elle repose sur une progression réfléchie, une technique soignée et une récupération efficace. La chasteté ne joue pas un rôle direct dans la réduction du risque de blessure. Cependant, des effets indirects sont envisageables si l’abstinence contribue effectivement à renforcer la concentration, le sommeil ou la discipline de récupération, car ces aspects améliorent la qualité du travail et préviennent les surcharges. Les pratiques essentielles pour réduire les blessures comprennent un échauffement complet, un renforcement spécifique des zones à risque, la périodisation des charges et un suivi rigoureux du volume et de l’intensité (par exemple, via le RPE ou un suivi hebdomadaire). Des tests de progression toutes les 4 à 6 semaines permettent d’ajuster la charge et d’éviter des augmentations trop rapides.

En somme, la chasteté peut être intégrée comme un levier comportemental secondaire, mais elle ne doit pas remplacer des stratégies éprouvées de prévention et d’optimisation (travail technique, musculation adéquate, suivi nutritionnel et récupération). Elle offre l’élément clé qui permet à un athlète de dépasser ses limites.

Comment inclure la chasteté dans un plan d’entraînement

Si un sportif veut s’engager dans la chasteté, il est essentiel de l’envisager comme un complément et non comme une alternative à un entraînement physique sérieux.

Il est conseillé de commencer par établir précisément la durée et le but de la période d’abstinence (par exemple, 48 à 72 heures avant une compétition pour un impact psychologique immédiat, ou 2 à 6 semaines pour un essai personnel organisé).

Il convient ensuite d’incorporer cette période dans une planification structurée : élaborer des cycles d’entraînement progressifs (par exemple, trois à quatre semaines de fond, suivies d’une phase d’intensification et enfin d’un affûtage), et déterminer le moment d’intégrer la période d’abstinence en fonction des temps de récupération et des pics de charge.

Pour un athlète débutant, un plan de quatre semaines peut servir de protocole d’expérimentation : les semaines 1 et 2 sont consacrées à l’entraînement de base avec trois séances par semaine axées sur la technique et la préparation physique générale, optimisation du sommeil (7 à 9 heures) et tenue d’un journal de sommeil et d’humeur ; la semaine 3 introduit une intensification avec deux séances plus exigeantes et une évaluation du RPE ; la semaine 4 est dédiée à l’affûtage et à l’application de la période d’abstinence choisie avant un test de performance. Les recommandations nutritionnelles doivent rester prioritaires : un apport protéique de 1,4 à 2,0 g/kg/jour, une hydratation adéquate et la consommation d’aliments favorisant la récupération.

La récupération active, qui inclut des étirements et des exercices de mobilité, ainsi que des méthodes complémentaires comme la cryothérapie ou le sauna, doit être envisagée. Il est essentiel de reconnaître les signes indiquant que la stratégie n’est pas efficace : une baisse continue du bien-être, une irritabilité marquée, des troubles du sommeil ou une diminution de la performance nécessitent une interruption du protocole et un avis médical.

Pour une mesure objective des effets, il est essentiel d’employer des indicateurs standardisés : le temps de course sur une distance donnée, le nombre de répétitions à charge fixe, les tests de saut ou de force, et les scores RPE et de sommeil.

En évaluant ces indicateurs avant, pendant et après la période d’abstinence, il sera possible de mesurer la pertinence de la méthode pour l’individu.

Corrélations physiologiques entre l’abstinence et la préparation athlétique.

Différents mécanismes physiologiques ont été identifiés pour expliquer l’influence possible de la chasteté sur l’entraînement. Le premier concerne les hormones sexuelles, en particulier la testostérone. Plusieurs recherches indiquent une légère élévation temporaire de la testostérone après une courte période d’abstinence, mais ces variations semblent éphémères et ne suffisent pas à provoquer des gains musculaires ou de performance durables. En contraste, des éléments tels que la nutrition, la charge d’entraînement et la qualité du sommeil ont un effet plus puissant et durable sur le profil hormonal et l’adaptation musculaire. Un second mécanisme potentiel réside dans l’économie d’énergie psychologique et comportementale : pour certains individus, l’abstinence pourrait diminuer les préoccupations émotionnelles et la dispersion de l’attention avant des échéances importantes, libérant ainsi de la concentration pour l’entraînement et la compétition. De la même façon, si la chasteté atténue l’anxiété avant une compétition chez un athlète, elle peut indirectement améliorer la qualité du sommeil et la récupération, ce qui soutient l’adaptation. Enfin, la variabilité hormonale et la réponse au stress diffèrent entre les individus ; certains peuvent présenter une sensibilité particulière entraînant des effets notables, tandis que d’autres ne verront aucune différence. Dans la réalité, l’effet physiologique direct de la chasteté sur la charge d’entraînement et l’adaptation musculaire vient s’ajouter aux méthodes traditionnelles (progression de la charge, consommation de protéines, récupération).

C’est pourquoi la chasteté, si utilisée, doit être intégrée à une stratégie globale en tenant compte de la gestion des autres axes de préparation : conditions physiques, sommeil, psychologie… Elle doit être supervisée par un coach dédié, indépendant du staff, en contact exclusif avec l’athlète.

Questions fréquentes sur la chasteté en relation avec l’entraînement sportif

Cela convient-il aux novices ?

La chasteté peut améliorer la discipline chez certains débutants, mais elle ne doit pas remplacer un programme de préparation physique organisé ; elle doit être testée sur des périodes brèves et évaluée de façon objective.

La chasteté a-t-elle un rôle dans la régulation de la testostérone ?

Les recherches actuelles ne permettent pas de conclure à une augmentation significative et durable de la testostérone en lien avec des périodes d’abstinence sexuelle, mais l’observation et l’expérience révèlent un effet important sur la motivation et l’état psychologique.

Comment mettre en place un programme d’entraînement optimal ?

La règle essentielle est de s’adresser à un coach expert. Ces méthodes sont le résultat d’une observation et d’une expérience qui ne peuvent pas être improvisées. Pour commencer, définissez les objectifs du sportif, à court et à long terme, puis procédez à une évaluation de son niveau initial à l’aide de tests physiques et d’un bilan de ses antécédents. Créez un programme basé sur des blocs périodisés, incluant des phases de préparation générale, des phases spécifiques, et enfin une période d’affûtage avant la compétition. Choisissez des exercices fondamentaux (multi-articulaires, musculation ciblée, endurance selon le sport) et planifiez la progression des charges ainsi que les variations d’intensité. Incorporez la récupération (sommeil, nutrition) et évaluez la progression à l’aide d’indicateurs (RPE, tests). Pour un étudiant ou un passionné en licence STAPS, il est judicieux d’allier théorie et pratique pour ancrer la méthode. En quoi la préparation physique générale est-elle différente de la préparation physique spécifique ?

Des changements à court terme se produisent, mais ils n’ont pas démontré d’effet prolongé sur la force ou la masse musculaire. Peut-on l’appliquer avant une compétition ?

Oui, certains compétiteurs choisissent de pratiquer l’abstinence avant une épreuve pour des raisons de concentration et psychologiques ; l’effet est subjectif et doit être encadré par un entraîneur spécialisé.

Quels conseils peuvent favoriser une progression rapide en entraînement sportif ?

Soyez discipliné : la constance dans l’entraînement est plus importante que des séances sporadiques et intenses. Concentrez-vous sur la technique des exercices avant d’augmenter les poids pour prévenir les blessures. Mettez en œuvre une périodisation en blocs : variez les phases de volume (travail musculaire et endurance) et d’intensité pour favoriser les adaptations. Renforcez votre préparation physique en dehors des séances : assurez-vous d’un sommeil adéquat, d’une nutrition riche en protéines pour la musculation, d’une hydratation suffisante et d’une récupération active. Évaluez et ajustez : tenez un journal d’entraînement, effectuez des tests fréquents et surveillez le RPE. Intégrez des formations et des stages pratiques pour maîtriser les connaissances et compétences spécifiques au domaine sportif. En dernier lieu, veillez à adapter la méthode au niveau et à l’expérience du sportif — ce qui est efficace pour un étudiant en STAPS ou un amateur peut varier pour un athlète de haut niveau.

Quels sont les objectifs clés de l’entraînement sportif ?

L’entraînement sportif vise principalement à optimiser la performance du sportif en développant les qualités physiques nécessaires à la discipline (force, endurance, vitesse, puissance). Il a aussi pour but d’optimiser la préparation physique, tant générale que spécifique, afin que le geste sportif soit plus efficace et consomme moins d’énergie. La prévention des blessures est un objectif clé : un bon programme doit inclure le renforcement, la mobilité et le travail technique pour préserver le corps. De plus, l’activité physique est déterminante pour ajuster la composition corporelle, en renforçant la masse musculaire et en diminuant la masse grasse, tout en améliorant la récupération, ce qui se traduit par un sommeil de qualité et une gestion du stress plus efficace. En dernier lieu, il contribue à développer des compétences tactiques et techniques spécifiques à la spécialité, ce qui élève le niveau de jeu ou de performance sur le long terme.

En quoi consiste la différence entre la préparation physique générale et la préparation physique spécifique ?

La préparation physique générale forme le socle de l’athlète : force de base, endurance globale, mobilité et compétences musculaires transversales cruciales pour toute activité sportive. Elle est habituellement mise en place au début d’un cycle ou d’un semestre pour améliorer la condition physique globale. La préparation physique spécifique ajuste ensuite cette fondation aux exigences du sport : exercices qui reproduisent les schémas de mouvement, intensités et temps de récupération proches de ceux de la compétition, intégration du travail technique dans le programme. Concrètement, on transitionne d’un bloc général à des blocs spécifiques pour améliorer le niveau de performance en se concentrant sur les besoins spécifiques de la spécialité.

Quelle est la durée appropriée ?

La durée idéale peut fluctuer : essayer 48 à 72 heures pour un impact rapide ou 2 à 6 semaines pour un protocole d’expérimentation, tout en surveillant la qualité du sommeil, le RPE et les performances.

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