Emilien Jacquelin : « Je cherche à être le plus régulier et précis possible »

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Dans quel état d’esprit êtes-vous à 100 jours des Jeux Olympiques d’hiver ?

Emilien Jacquelin : L’excitation monte déjà ! Tous les choix que je fais sont motivés par l’envie de réussir aux Jeux Olympiques. Quand on est athlète de haut niveau, on a deux objectifs : être performant tout au long de la saison, et les JO. La préparation intensive commence le 1er mai, avec 25 heures d’entraînement par semaine, à raison de plusieurs heures d’endurance (vélo, course, ski à roulettes), de la musculation mais aussi un investissement mental. Quatre ans, cela laisse le temps de mieux se connaître et d’optimiser au mieux sa routine.

Comment gérez-vous la pression ?

J’essaie d’y aller avec un esprit léger pour revenir des JO sans regret. Le meilleur moyen de ne pas stresser, c’est de rester concentré sur ma technique, ma respiration, mes skis, ma carabine. Je fais beaucoup de méditation avant les courses pour travailler l’instant présent. La pleine conscience me permet de me recentrer sur moi-même et de trouver davantage de sérénité.

Le sport est vecteur d’émotions fortes, de quelle manière trouvez-vous l’équilibre entre écoute et gestion de ces émotions ?

Il faut rester concentré sur ce sur quoi je peux avoir un contrôle, et ne pas penser à ce qui pourrait mal se passer. Plus je vieillis, plus je vois que le calme permet de traverser les hauts et les bas. Je continue à développer ma capacité à rester lucide pour aller de l’avant. La volonté de se dépasser est essentielle aussi, mais par rapport à soi-même et non par rapport aux autres.

La passion est-elle toujours aussi forte aujourd’hui ?

Elle évolue, elle prend des formes différentes. Plus jeune, c’était l’excitation de voir un rêve se réaliser : faire un podium, gagner une médaille olympique… Ces premières fois sont exceptionnelles. Aujourd’hui, le rêve est devenu un objectif plus palpable et concret. Avant, je trouvais du plaisir dans les confrontations, maintenant je préfère les face-à-face avec moi-même.

La vitesse et la précision sont indispensables pour gagner. Comment vous améliorez-vous sans cesse ?

C’est ce que je travaille depuis toujours. Lorsque j’avais 15 ans, mes coachs n’aimaient pas que je tire vite, mais plus je tirais vite, plus j’étais précis. Quand je suis devenu plusieurs fois champion, j’ai arrêté d’être à mon écoute et j’ai mis en avant la performance plus que le plaisir, alors que la performance vient du plaisir. J’ai beaucoup travaillé à renouer avec mon instinct premier et à retrouver une forme de lâcher prise, même si les enjeux sont plus élevés.

Quel rapport avez-vous au temps : est-il un allié ? Une contrainte ?

Quand je regarde une horloge numérique, je stresse ! J’ai peur de la perte de temps. J’essaie de m’apaiser par rapport à cela. Le temps est aussi lié aux émotions, elles changent d’un jour à l’autre. On prend le temps de ressentir les énergies lorsqu’elles sont positives, et quand elles sont mauvaises, on aimerait que le temps passe plus vite. J’essaie, dans un sens comme dans l’autre, d’accepter de vivre chaque moment.

Quelles valeurs partagez-vous avec Seiko ?

L’exigence et la quête de performance, à travers la précision de la maison. Je cherche moi aussi à être le plus régulier et précis possible. Je me retrouve aussi dans leur sens de la tradition. Comme Seiko, je ne veux pas trahir qui je suis. Je porte au quotidien et lors des courses le modèle Prospex SPB513J1 ou la SPB519J1, deux montres sportives et habillées à la fois.

Quels seront vos rituels quelques heures avant votre première épreuve des JO d’hiver ?

24h avant, je répète mes gammes, je fais 4 ou 5 séances de tir, je repère la piste.

3h avant, je mange. 2h avant, je fais une sieste.

1h avant, j’arrive sur le site, j’écoute de la musique ou j’absorbe les énergies autour.Et à l’heure pile, je vérifie mes chargeurs – c’est un tic -, un dernier check avec les techniciens, le kiné, et une pensée pour mon grand-père, décédé il y a 8 ans.

Crédit photo : Klip

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Éviter les blessures tout en optimisant la performance

La protection contre les blessures est un pilier clé de toute préparation ; elle repose sur une progression réfléchie, une technique soignée et une récupération efficace. La chasteté ne semble pas avoir d’impact direct sur le risque de blessure. Toutefois, des effets indirects sont possibles si l’abstinence parvient à améliorer la concentration, le sommeil ou la discipline de récupération, car ces facteurs favorisent la qualité du travail et aident à prévenir les surcharges. Les mesures indispensables pour prévenir les blessures incluent un échauffement complet, un renforcement ciblé des zones à risque, la périodisation des charges et un suivi précis du volume et de l’intensité (par exemple, grâce au RPE ou à un suivi hebdomadaire). Des tests de progression toutes les 4 à 6 semaines permettent d’ajuster la charge et d’éviter des augmentations trop brusques.

En définitive, la chasteté peut servir de levier comportemental secondaire, mais elle ne doit jamais remplacer des stratégies éprouvées de prévention et d’optimisation (travail technique, musculation adaptée, suivi nutritionnel et récupération). Elle apporte l’élément essentiel qui permet à un athlète de franchir ses limites.

Comment intégrer la chasteté dans une stratégie d’entraînement

Pour un athlète qui souhaite explorer la chasteté, il est essentiel de l’envisager comme un complément et non comme un remplacement d’une préparation physique soutenue.

Il est essentiel de commencer par définir avec précision la durée et l’objectif de la période d’abstinence (par exemple, 48 à 72 heures avant une compétition pour un impact psychologique fort, ou 2 à 6 semaines pour un test personnel bien structuré).

Il faut ensuite inclure cette période dans un plan d’entraînement réfléchi : développer des séquences d’entraînement progressives (par exemple, trois à quatre semaines de travail de fond, suivies d’une phase d’intensification et enfin d’un affûtage), et déterminer le moment d’intégrer la période d’abstinence en fonction des temps de récupération et des pics de charge.

Pour un athlète novice, un programme de quatre semaines peut servir de cadre d’expérimentation : les semaines 1 et 2 sont dédiées à l’entraînement fondamental avec trois séances par semaine axées sur la technique et la préparation physique générale, optimisation du sommeil (7 à 9 heures) et tenue d’un journal de sommeil et d’humeur ; la semaine 3 voit une montée en intensité avec deux séances plus exigeantes et une évaluation du RPE ; la semaine 4 est consacrée à l’affûtage et à l’application de la période d’abstinence choisie avant un test de performance. Les recommandations nutritionnelles doivent rester prioritaires : un apport protéique de 1,4 à 2,0 g/kg/jour

La récupération active, qui inclut des étirements et des exercices de mobilité, ainsi que des méthodes complémentaires comme la cryothérapie ou le sauna, doit être envisagée. Il est essentiel de reconnaître les signes indiquant que la stratégie n’est pas efficace : une baisse continue du bien-être, une irritabilité marquée, des troubles du sommeil ou une diminution de la performance nécessitent une interruption du protocole et un avis médical.

En conclusion, l’évaluation objective des effets nécessite l’utilisation d’indicateurs standardisés : le temps de course sur une distance précise, le nombre de répétitions avec une charge fixe, les tests de saut ou de force, et les scores RPE et de sommeil.

En comparant ces indicateurs avant, pendant et après la période d’abstinence, on pourra évaluer l’adéquation de la méthode pour l’individu.

Questions courantes sur la chasteté dans le cadre de l’entraînement sportif

Comment réussir à progresser rapidement dans son entraînement sportif ?

Restez régulier : la constance dans l’entraînement est plus importante que des efforts intenses mais occasionnels. Mettez l’accent sur la technique lors des exercices avant d’augmenter les charges pour prévenir les blessures. Adoptez une périodisation en blocs : variez entre des phases de volume (musculation et endurance) et des phases d’intensité pour induire des adaptations. Améliorez votre préparation physique hors des séances : veillez à un sommeil de qualité, à une nutrition riche en protéines pour la musculation, à une bonne hydratation et à une récupération active. Mesurez et ajustez : utilisez un journal d’entraînement, réalisez des tests réguliers et suivez le RPE. Complétez votre apprentissage par des formations et des stages pratiques pour acquérir des compétences et des connaissances spécifiques au sport. Pour finir, veillez à toujours personnaliser la méthode selon le niveau et le parcours de l’athlète — ce qui est approprié pour un étudiant en STAPS ou un amateur peut différer pour un athlète de haut niveau.

Il y a des fluctuations à court terme, mais celles-ci n’ont pas montré d’effet persistant sur la force ou la masse musculaire. Peut-on l’utiliser avant une compétition ?

Effectivement, certains sportifs préfèrent s’abstenir avant une épreuve pour des motifs psychologiques et de concentration ; l’impact est personnel et doit être géré par un coach expérimenté.

Quelles nuances existent entre la préparation physique générale et la préparation physique spécifique ?

La préparation physique générale bâtit les bases de l’athlète : force fondamentale, endurance générale, mobilité et compétences musculaires transversales nécessaires à toute pratique sportive. Elle s’effectue souvent au début d’un cycle ou d’un semestre pour optimiser la condition physique globale. La préparation physique spécifique modifie ensuite cette fondation pour répondre aux contraintes du sport : exercices imitant les mouvements, intensités et temps de récupération alignés sur ceux de la compétition, travail technique intégré au programme. Concrètement, on passe d’un bloc général à des blocs spécifiques pour améliorer le niveau de performance en ciblant les exigences de la spécialité.

Quels sont les principaux enjeux de l’entraînement sportif ?

L’entraînement sportif vise principalement à augmenter la performance du sportif en développant les qualités physiques nécessaires à la pratique sportive (force, endurance, vitesse, puissance). Il cherche également à optimiser la préparation physique générale et spécifique pour que le geste sportif soit plus efficace et moins énergivore. La prévention des blessures est un objectif majeur : un bon programme doit inclure le renforcement, la mobilité et le travail technique pour préserver le corps. De plus, l’activité physique est déterminante pour ajuster la composition corporelle, en renforçant la masse musculaire et en diminuant la masse grasse, tout en améliorant la récupération, ce qui se traduit par un sommeil de qualité et une gestion du stress plus efficace. En définitive, il permet de cultiver des compétences tactiques et techniques adaptées à la spécialité, ce qui rehausse le niveau de jeu ou de performance sur le long terme.

Comment mettre en place un programme d’entraînement optimal ?

Il est primordial de faire appel à un entraîneur qualifié. Ces techniques découlent d’observations et d’expériences qui ne peuvent pas être improvisées. Démarrez par la définition des objectifs du sportif, à court et à long terme, puis réalisez une évaluation de son niveau initial à travers des tests physiques et un bilan de ses antécédents. Développez un programme structuré en blocs périodisés, avec des phases de préparation générale, des phases spécifiques, et un affûtage final avant la compétition. Identifiez des exercices essentiels (multi-articulaires, travail de musculation ciblé, endurance selon la discipline) et organisez la progression des charges et les variations d’intensité. Ajoutez des éléments de récupération (sommeil, nutrition) et suivez la progression grâce à des indicateurs (RPE, tests). Pour un étudiant ou un amateur en licence STAPS, il est bénéfique de marier les cours théoriques avec des sessions pratiques pour renforcer la méthode. En quoi la préparation physique générale diffère-t-elle de la préparation physique spécifique ?

La chasteté peut-elle augmenter les niveaux de testostérone ?

Les études concluantes ne suffisent pas à établir qu’il y a une augmentation significative et durable de la testostérone due à des périodes d’abstinence sexuelle, alors que l’observation et l’expérience montrent un impact notable sur la détermination et le bien-être psychologique.

Quelle est la durée souhaitable ?

La durée appropriée est changeante : il est judicieux de tester 48 à 72 heures pour un effet rapide ou 2 à 6 semaines pour un protocole expérimental, tout en gardant un œil sur la qualité du sommeil, le RPE et les performances.

Cela convient-il aux personnes qui débutent ?

La chasteté peut améliorer la discipline chez certains débutants, mais elle ne doit pas se substituer à un programme de préparation physique structuré ; elle doit être mise à l’épreuve sur de courtes périodes et évaluée de manière objective.

L’effet de la chasteté sur la performance et l’entraînement sportif

La chasteté peut offrir des bénéfices psychologiques perceptibles chez certains sportifs — amélioration de la concentration, renforcement de la discipline, possible meilleure gestion du stress pré-compétitif. Elle doit être considérée comme un outil complémentaire intégré à un plan d’entraînement priorisant la périodisation, la nutrition, le sommeil et la prévention des blessures. Toute expérimentation nécessite un suivi objectif (tests de performance, journal de sommeil et humeur, RPE) et une vigilance quant aux signes de détérioration du bien être. La chasteté doit être mise en œuvre par un coach professionnel, dans le cadre d’un coaching propre et individuel. Il est impératif que pour l’athlète la gestion de l’abstinence doit être externalisée afin ne pas parasiter sa concentration sur sa progression sportive.

Des investigations scientifiques soulignent le rapport entre la chasteté et l’excellence sportive

Les études sur l’effet de l’abstinence sexuelle sur la performance sportive sont rares et souvent en désaccord les unes avec les autres. Les études existantes sont souvent de taille réduite, parfois dépassées, et englobent des groupes variés (hommes vs femmes, athlètes vs non-athlètes). De nombreuses recherches montrent que les variations de testostérone associées à l’activité sexuelle sont souvent faibles et temporaires ; il n’existe pas de preuves solides d’un effet durable sur les performances physiques, tandis que des facteurs psychologiques sont surtout notés chez les hommes. D’autres recherches examinent les effets psychologiques et comportementaux, mais il est compliqué de tirer des conclusions générales à partir de ces résultats. Il est fondamental de faire la distinction entre corrélation et causalité : les performances améliorées chez certains athlètes pratiquant l’abstinence peuvent être attribuées à un effet placebo, à une meilleure récupération, ou à des ajustements dans leur sommeil et leur nutrition. Dans la réalité, il est conseillé d’adopter une approche personnalisée : un athlète qui désire expérimenter la chasteté comme méthode doit le faire dans un environnement contrôlé, en enregistrant systématiquement des indicateurs clés (qualité du sommeil, humeur, charges d’entraînement, RPE, performances mesurables) et en comparant des phases avec et sans abstinence. Les entraîneurs physiques et les spécialistes de la santé peuvent aider à déchiffrer les résultats et à éviter des effets psychologiques ou physiologiques indésirables. Il est également essentiel de rappeler que des facteurs bien établis — comme la nutrition, le sommeil, la surcharge d’entraînement et la périodisation — ont des effets beaucoup plus significatifs et documentés sur la performance que toute approche d’abstinence.

Ce qui est certain, c’est que de nombreux athlètes rapportent des résultats positifs dans leur préparation sportive associés à la chasteté. Ainsi, la chasteté masculine contrôlée représente une discipline en pleine évolution, actuellement fondée sur l’expertise des entraîneurs spécialisés et, à l’avenir, après des recherches scientifiques, elle sera intégrée dans la préparation physique.

Interrelations physiologiques entre l’abstinence et l’entraînement sportif.

Plusieurs explications physiologiques ont été proposées pour éclairer comment la chasteté pourrait affecter l’entraînement. La première concerne les hormones sexuelles, notamment la testostérone. Certaines études décrivent une légère augmentation de la testostérone après une brève abstinence, mais ces fluctuations semblent éphémères et insuffisantes pour provoquer des gains musculaires ou de performance durables. En revanche, des éléments tels que la nutrition, l’intensité de l’entraînement et la qualité du sommeil influencent de manière plus significative et durable le profil hormonal et l’adaptation musculaire. Un deuxième mécanisme possible est l’économie d’énergie psychologique et comportementale : pour certains, l’abstinence pourrait diminuer les préoccupations émotionnelles et la dispersion de l’attention avant des échéances importantes, libérant ainsi de la concentration pour l’entraînement et la compétition. De même, si la chasteté aide à réduire l’anxiété pré-compétitive chez un sportif, elle peut également améliorer indirectement la qualité du sommeil et la récupération, favorisant ainsi l’adaptation. En outre, la périodicité hormonale et la réponse au stress varient d’un individu à l’autre ; certains peuvent avoir une sensibilité particulière entraînant des effets visibles, alors que d’autres ne constateront aucune différence. Dans la réalité, l’impact physiologique direct de la chasteté sur la charge d’entraînement et l’adaptation musculaire vient s’ajouter aux méthodes habituelles (progression de la charge, consommation de protéines, récupération).

C’est pourquoi, si la chasteté est envisagée, elle doit être intégrée dans une stratégie globale prenant en compte la gestion des autres aspects de la préparation, tels que la condition physique, le sommeil et le bien-être psychologique. Elle doit être supervisée par un coach dédié, qui n’est pas membre du staff, et qui a un contact exclusif avec le sportif.

Impacts psychologiques et comportementaux

D’un point de vue psychologique, la chasteté peut avoir des impacts divergents. Cependant, elle est intégrée dans la notion d’effort et de sacrifice qui précède la performance. Pour la plupart des sportifs, choisir l’abstinence est un acte de discipline qui renforce la focalisation, la motivation et la routine d’entraînement. Ce renforcement des comportements peut se traduire par une plus grande adhérence aux séances, une régularité améliorée et une attention accrue à la récupération, des éléments favorables à l’avancement. Dans le cadre pré-compétitif, la mise de côté des préoccupations sexuelles peut diminuer les sources de distraction et contribuer à la gestion de la tension émotionnelle. Néanmoins, il est également possible que l’abstinence crée une frustration ou une pression psychologique supplémentaire qui pourrait être bénéfique pour la performance. Les différences individuelles dépendent du tempérament, des croyances personnelles et du cadre social. Un exemple pratique à considérer est le protocole suivant pour un athlète amateur préparant une compétition : établir une période d’essai de quatre semaines durant laquelle l’athlète enregistre chaque jour son sommeil, son humeur, son RPE et ses performances sur les exercices clés. En examinant ces éléments, on peut analyser si la chasteté apporte des avantages, tant sur le plan subjectif qu’objectif.

Les commentaires d’entraîneurs et d’athlètes de haut niveau révèlent souvent que l’effet est principalement psychologique, lié à des ressentis individuels plutôt que à des mécanismes physiologiques généraux.

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