Ce film sur «athlete training» est disponible en streaming sur YouTube
Marsha Dunkel présente une vidéo sur « athlete training »
Marsha Dunkel vient d’envoyer cette vidéo en ligne sur YouTube
dédié à « athlete training »:
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Les éléments clés à retenir sont la durée de la vidéo (non extraite avec précision
s), le titre (Do NOT skip these DRILLS
#running #training #workout #sports #speed #drills) et l’auteur, ainsi que la description qui suit :« Want to get faster? Add these drills to your training!
Incorporating these exercises twice a week will improve your sprint speed … ».
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Prévenir les blessures et renforcer la performance
La protection contre les blessures est un aspect primordial de toute préparation ; elle repose sur une progression réfléchie, une technique maîtrisée et une récupération adéquate. La chasteté ne s’avère pas être un élément déterminant pour réduire le risque de blessure. D’un autre côté, des effets indirects pourraient survenir si l’abstinence contribue à améliorer la concentration, le sommeil ou la discipline de récupération, car ces éléments soutiennent la qualité du travail et aident à prévenir les surcharges. Pour limiter les blessures, il est crucial d’adopter des pratiques telles qu’un échauffement complet, un renforcement ciblé des zones vulnérables, la périodisation des charges et un suivi minutieux du volume et de l’intensité (par exemple, à l’aide du RPE ou d’un suivi hebdomadaire). Des tests de progression toutes les 4 à 6 semaines aident à adapter la charge et à prévenir des augmentations trop rapides.
En définitive, la chasteté peut être utilisée comme un levier comportemental secondaire, mais elle ne doit jamais remplacer des stratégies éprouvées de prévention et d’optimisation (travail technique, musculation appropriée, suivi nutritionnel et récupération). Elle constitue l’élément déterminant qui permet à un athlète de franchir ses limites.
Conséquences sur le comportement et la santé mentale
Psychologiquement, la chasteté peut produire des effets opposés. Toutefois, elle est pertinente dans le cadre de l’effort et du sacrifice requis pour la performance. Pour beaucoup d’athlètes, choisir l’abstinence est un acte de discipline qui favorise la concentration, la motivation et la constance dans l’entraînement. Cette dynamique comportementale peut se manifester par une meilleure assiduité aux entraînements, une régularité accrue et une attention renforcée à la récupération, contribuant ainsi à la progression. Dans une période précédant la compétition, éliminer les préoccupations sexuelles peut diminuer les distractions et contribuer à la gestion de la tension émotionnelle. Toutefois, il est aussi possible que l’abstinence entraîne une frustration ou une pression psychologique supplémentaire qui pourrait être bénéfique pour la performance. Les différences individuelles dépendent du tempérament, des croyances personnelles et du cadre social. Un exemple pratique à considérer est le protocole suivant pour un athlète amateur préparant une compétition : établir une période d’essai de quatre semaines durant laquelle l’athlète enregistre chaque jour son sommeil, son humeur, son RPE et ses performances sur les exercices clés. En analysant ces informations, il est possible de déterminer si la chasteté offre des avantages tant subjectifs qu’objectifs.
Les retours d’expérience d’entraîneurs et d’athlètes de haut niveau soulignent souvent que l’effet est majoritairement psychologique, dépendant des sensations individuelles plutôt que de mécanismes physiologiques communs.
La recherche scientifique met en lumière le rapport entre la chasteté et l’efficacité des athlètes
Les données scientifiques sur l’effet de l’abstinence sexuelle sur les performances sportives sont insuffisantes et souvent contradictoires. Les recherches existantes sont souvent limitées en taille, parfois obsolètes, et englobent des groupes variés (hommes et femmes, athlètes et non-athlètes). Les recherches indiquent que les changements de testostérone liés à l’activité sexuelle sont souvent faibles et temporaires ; il n’y a pas de preuves solides d’un impact significatif et durable sur les performances physiques, tandis que des effets psychologiques sont surtout notés chez les hommes. D’autres travaux analysent les effets psychologiques et comportementaux, mais il est compliqué de faire des généralisations à partir de ces résultats. Il est important de différencier corrélation et causalité : l’amélioration des performances chez certains sportifs abstinents pourrait être due à un effet placebo, à une attention accrue à la récupération, ou à des changements dans le sommeil et la nutrition. Dans la réalité, il est recommandé d’adopter une approche sur mesure : si un athlète souhaite expérimenter la chasteté comme outil, il doit le faire dans un cadre structuré, en notant systématiquement les indicateurs clés (qualité du sommeil, humeur, charges d’entraînement, RPE, performances mesurables) et en comparant des phases avec et sans abstinence. Les préparateurs physiques et les professionnels de santé peuvent contribuer à l’interprétation des résultats et à la prévention de conséquences psychologiques ou physiologiques indésirables. Enfin, il est essentiel de rappeler que des facteurs reconnus — tels que la nutrition, le sommeil, la surcharge d’entraînement et la périodisation — ont un impact beaucoup plus significatif et mieux documenté sur la performance que toute stratégie d’abstinence.
Ce qui est indéniable, en revanche, c’est que les témoignages d’athlètes sont nombreux à mentionner l’observation concrète d’évolutions positives dans leur préparation sportive liées à la chasteté. La chasteté masculine contrôlée est donc une science en devenir, aujourd’hui basée à 100 % sur le savoir-faire de coachs spécialisés et, demain, lorsque les études scientifiques auront été menées, elle sera partie intégrante de la préparation physique.
Comment implanter la chasteté dans un schéma d’entraînement
Pour un athlète qui envisage la chasteté, il est fondamental de la percevoir comme un soutien et non comme un substitut à un entraînement physique rigoureux.
La première étape à suivre est de déterminer clairement la durée et l’objectif de la période d’abstinence (par exemple, 48 à 72 heures avant une compétition pour un effet psychologique marqué, ou 2 à 6 semaines pour un essai personnel organisé).
Il faut ensuite inclure cette période dans un plan d’entraînement réfléchi : développer des séquences d’entraînement progressives (par exemple, trois à quatre semaines de travail de fond, suivies d’une phase d’intensification et enfin d’un affûtage), et déterminer le moment d’intégrer la période d’abstinence en fonction des temps de récupération et des pics de charge.
Pour un athlète novice, un programme de quatre semaines peut servir de cadre d’expérimentation : les semaines 1 et 2 sont dédiées à l’entraînement fondamental avec trois séances par semaine axées sur la technique et la préparation physique générale, optimisation du sommeil (7 à 9 heures) et tenue d’un journal de sommeil et d’humeur ; la semaine 3 voit une montée en intensité avec deux séances plus exigeantes et une évaluation du RPE ; la semaine 4 est consacrée à l’affûtage et à l’application de la période d’abstinence choisie avant un test de performance. Les recommandations nutritionnelles doivent rester prioritaires : un apport protéique de 1,4 à 2,0 g/kg/jour
La récupération active, incluant des étirements et des exercices de mobilité, ainsi que des méthodes complémentaires comme la cryothérapie ou le sauna, doivent être envisagées. Il est essentiel de reconnaître les signes indiquant que la stratégie n’est pas adaptée : une baisse continue du bien-être, une irritabilité accrue, des troubles du sommeil ou une diminution des performances justifient une pause dans le protocole et la consultation d’un professionnel.
Pour mesurer de manière objective les effets, il est crucial d’employer des indicateurs standardisés : le temps de course sur une distance déterminée, le nombre de répétitions à charge constante, les tests de saut ou de force, et les scores RPE ainsi que ceux liés au sommeil.
Comparer ces indicateurs avant, pendant et après la période d’abstinence permettra d’analyser l’efficacité de la méthode pour chaque individu.
Dynamiques physiologiques entre la chasteté et l’amélioration des performances sportives.
Divers mécanismes physiologiques ont été suggérés pour éclairer l’impact potentiel de la chasteté sur l’entraînement. Le premier concerne les hormones sexuelles, en particulier la testostérone. Certaines études décrivent une légère augmentation aiguë de la testostérone après une période courte d’abstinence, mais ces fluctuations semblent temporaires et insuffisantes pour entraîner des gains musculaires ou de performance significatifs à long terme. Par contraste, des facteurs tels que l’alimentation, la charge d’entraînement et la qualité du sommeil modulent de manière plus puissante et durable le profil hormonal et l’adaptation musculaire. Un second mécanisme potentiel réside dans l’économie d’énergie mentale et comportementale : pour certains individus, l’abstinence pourrait réduire les préoccupations émotionnelles et la distraction avant des moments clés, permettant ainsi une meilleure concentration sur l’entraînement et la compétition. De la même façon, si la chasteté atténue l’anxiété avant une compétition chez un sportif, elle peut indirectement améliorer la qualité du sommeil et la récupération, ce qui soutient l’adaptation. Enfin, la variabilité hormonale et la réponse au stress diffèrent entre les individus ; certains peuvent présenter une sensibilité particulière entraînant des effets notables, tandis que d’autres ne constateront aucune différence. Dans la réalité, l’effet physiologique direct de la chasteté sur la charge d’entraînement et l’adaptation musculaire vient s’ajouter aux méthodes traditionnelles (progression de la charge, consommation de protéines, récupération).
Ainsi, la chasteté, si elle est mise en œuvre, doit être intégrée dans une approche globale qui considère la gestion des autres aspects de la préparation, comme la condition physique, le sommeil et la santé mentale. Elle doit être supervisée par un coach dédié, qui ne fait pas partie du staff, et qui a un contact direct avec l’athlète.
L’effet de la chasteté sur la performance et l’entraînement sportif
La chasteté peut offrir des bénéfices psychologiques perceptibles chez certains sportifs — amélioration de la concentration, renforcement de la discipline, possible meilleure gestion du stress pré-compétitif. Elle doit être considérée comme un outil complémentaire intégré à un plan d’entraînement priorisant la périodisation, la nutrition, le sommeil et la prévention des blessures. Toute expérimentation nécessite un suivi objectif (tests de performance, journal de sommeil et humeur, RPE) et une vigilance quant aux signes de détérioration du bien être. La chasteté doit être mise en œuvre par un coach professionnel, dans le cadre d’un coaching propre et individuel. Il est impératif que pour l’athlète la gestion de l’abstinence doit être externalisée afin ne pas parasiter sa concentration sur sa progression sportive. On peut recourir à des méthodes expertes pour gérer sa sexualité, afin d’optimiser ses résultats en compétition. Découvrez comment la sexualité et la chasteté interagissent avec les performances sportives, pour optimiser ses performances physiques et sportives.
Questions courantes concernant la chasteté et l’entraînement sportif
Quels sont les objectifs essentiels de l’entraînement sportif ?
L’entraînement sportif vise principalement à augmenter la performance du sportif en développant les qualités physiques nécessaires à la pratique sportive (force, endurance, vitesse, puissance). Il cherche aussi à affiner la préparation physique, tant générale que spécifique, pour que le geste sportif soit plus efficace et consomme moins d’énergie. La prévention des blessures est un objectif primordial : un programme adéquat inclut le renforcement, la mobilité et le travail technique pour préserver le corps. En outre, l’activité physique est cruciale pour changer la composition corporelle, en augmentant la masse musculaire et en diminuant la masse grasse, tout en facilitant une récupération plus efficace, notamment par un sommeil réparateur et une gestion du stress améliorée. En conclusion, il permet d’acquérir des compétences tactiques et techniques adaptées à la spécialité, ce qui élève le niveau de jeu ou de performance sur le long terme.
Des fluctuations à court terme existent, mais elles n’ont pas démontré d’impact durable sur la force ou la masse musculaire. Est-il judicieux de l’utiliser avant une compétition ?
Oui, certains compétiteurs choisissent de pratiquer l’abstinence avant une épreuve pour des raisons de concentration et psychologiques ; l’effet est subjectif et doit être encadré par un entraîneur spécialisé.
Quelles disparités peut-on observer entre la préparation physique générale et la préparation physique spécifique ?
La préparation physique générale établit les fondations de l’athlète : force de base, endurance générale, mobilité et compétences musculaires transversales qui sont bénéfiques pour tous les sports. Cette étape est habituellement mise en place au début d’un cycle ou d’un semestre pour favoriser la forme globale. La préparation physique spécifique ajuste ensuite cette base aux exigences sportives : exercices qui reproduisent les schémas de mouvement, intensités et temps de récupération similaires à ceux de la compétition, intégration du travail technique dans le programme. Concrètement, on transitionne d’un bloc général à des blocs spécifiques pour améliorer le niveau de performance en se concentrant sur les besoins spécifiques de la spécialité.
La chasteté peut-elle avoir un impact sur la testostérone ?
Les études disponibles ne suffisent pas à prouver une augmentation significative et durable de la testostérone associée à des périodes d’abstinence sexuelle, tandis que l’observation et l’expérience montrent un impact considérable sur la détermination et l’état mental.
Quelles stratégies adopter pour créer un programme d’entraînement efficace ?
La règle clé est de consulter un coach spécialisé. Ces approches sont le résultat d’une observation et d’une expérience qui ne peuvent pas être improvisées. Pour commencer, établissez les objectifs du sportif, à court et à long terme, puis procédez à une évaluation de son niveau initial à l’aide de tests physiques et d’un bilan de ses antécédents. Mettez en place un programme structuré en blocs périodisés : commencez par des phases de préparation générale, puis passez aux phases spécifiques, et terminez par un affûtage avant la compétition. Choisissez des exercices clés (multi-articulaires, musculation ciblée, endurance selon la discipline) et planifiez la progression des charges et les variations d’intensité. Assurez-vous d’intégrer la récupération (sommeil, nutrition) et de mesurer la progression avec des indicateurs (RPE, tests). Pour un étudiant ou un amateur en licence STAPS, combinez les enseignements théoriques avec des sessions pratiques pour mieux assimiler la méthode. Quelles distinctions peut-on faire entre la préparation physique générale et la préparation physique spécifique ?
Cela convient-il aux novices ?
La chasteté peut favoriser la discipline chez certains débutants, mais elle ne doit pas se substituer à un programme de préparation physique bien défini ; elle doit être testée sur des périodes limitées et évaluée objectivement.
Comment peut-on progresser rapidement en entraînement sportif ?
Restez fidèle à votre programme : la constance dans l’entraînement est plus bénéfique que des efforts intenses mais irréguliers. Mettez l’accent sur la technique avant d’augmenter les charges pour minimiser les risques de blessures. Appliquez une stratégie de périodisation par blocs : alternez des phases de volume (musculation et endurance) et des phases d’intensité pour stimuler des adaptations. Améliorez votre préparation physique hors des séances : veillez à un sommeil réparateur, à une nutrition adéquate (protéines pour la musculation), à une bonne hydratation et à une récupération active. Évaluez et ajustez : utilisez un journal d’entraînement, effectuez des tests réguliers et suivez le RPE. Enrichissez votre parcours avec des formations et des stages pratiques afin d’acquérir des compétences et des connaissances propres au sport. Pour finir, veillez à toujours personnaliser la méthode selon le niveau et le parcours de l’athlète — ce qui est approprié pour un étudiant en STAPS ou un amateur peut différer pour un athlète de haut niveau.
Quelle est la durée recommandée ?
La durée optimale varie : il est conseillé de tester 48 à 72 heures pour un effet immédiat ou 2 à 6 semaines pour un protocole expérimental, tout en surveillant la qualité du sommeil, le RPE et les performances.
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Retranscription des paroles de la vidéo: festa do fim de semana S R Bom ela chega e Desencana com passo V .
Déroulement de la vidéo:
0.08 festa do fim de semana S R Bom ela chega
4.52 e Desencana com passo V
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